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Old July 2nd, 2021 #1
alex revision
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Default Un scientifique révèle une mauvaise utilisation des ensembles de donnée sur l'Holocauste

Un scientifique révèle une mauvaise utilisation des ensembles de donnée sur l'Holocauste

29 juin 2021

Melkior Ornik, membre du corps professoral en génie aérospatial, est également un mathématicien, un passionné d'histoire et un fervent partisan de l'intégrité lorsqu'il s'agit d'utiliser la science dure dans les débats publics. Ainsi, lorsqu'une histoire est apparue dans son fil d'actualité à propos d'un couple de chercheurs qui ont développé une méthode statistique pour analyser des ensembles de données et l'ont utilisée pour réfuter le nombre de victimes de l'Holocauste dans un camp de concentration en Croatie, cela a naturellement attiré son attention.

Ornik est professeur au Département de génie aérospatial de l'Université de l'Illinois à Urbana-Champaign. Il a ensuite étudié de manière approfondie la méthode d’analyse des données du Memorial de l’Holocauste aux Etats-Unis. Il a ensuite publié un article pour réfuter les conclusions des chercheurs du Memorial.

La réfutation d'Ornik est publiée dans le même journal que l'article original. Il a déclaré que l'éditeur lui avait demandé d'inclure une liste de réponses à certaines des questions potentielles que d'autres scientifiques pourraient se poser lorsqu'ils liraient son article.

Quelques semaines plus tard, le journal a placé une note sur l'article original indiquant qu'ils n'approuvent ni ne partagent les points de vue des auteurs, tout en recommandant la lecture de l'article d'Ornik.

« En tant que scientifiques, en tant qu'ingénieurs, je pense qu'il est de notre devoir de corriger la science imparfaite et défectueuse », a déclaré Ornik. « Il y a tellement d'efforts pour amener le public et les décideurs à croire en la science, que lorsqu'un expert en mathématiques dit qu'il a des preuves, cela donne du crédit à l'argument. Mais lorsque leurs affirmations sont manifestement fausses, ce n'est pas bon pour la science et ce n'est pas bon pour la société. C'est pourquoi il est particulièrement important pour les scientifiques de contester les fausses découvertes lorsque nous les découvrons. »

Selon Ornik, certaines personnes défendent l'idée que les camps de concentration n'existaient pas ou n'étaient pas utilisés pour tuer des gens, ou que le nombre de victimes actuellement largement accepté a été considérablement gonflé. La plupart des historiens ne prennent pas ces affirmations au sérieux à la lumière des vastes données et preuves disponibles.

« Les auteurs de l'article original affirment qu'ils ont trouvé une preuve mathématique que la liste des victimes de ce camp a été fabriquée, ce qui a des implications historiques évidentes », a déclaré Ornik. « Je pense que, dans une certaine mesure, les dommages ont déjà été causés, mais j'ai ressenti le besoin de consigner les hypothèses, les inexactitudes et l'utilisation abusive des données brutes du musée que j'ai trouvées dans la recherche originale. »

L'article auquel Ornik a répondu présente une nouvelle méthode pour identifier les anomalies sur un ensemble d'histogrammes. Ornik a déclaré qu'il ne contestait pas les mérites de la méthode présentée dans l'article original, mais simplement son application au camp de concentration de Jasenovac.

Ornik s'est méfié des conclusions de l'article parce que les chercheurs ont laissé entendre dans un cas qu'une liste plus petite avait naturellement un score aberrant plus petit, mais ils ont comparé les scores de toutes les tailles de listes de victimes pour affirmer que celle liée à Jasenovac, l'une des plus importantes, était problématique.

« J'ai commencé à chercher s'il y avait une sorte de biais pour la taille et s'ils étaient en fait plus susceptibles d’extrapoler ces résultats à une plus grande liste ou non. Et il s'avère, malgré les affirmations des auteurs, que les plus grandes listes sont davantage susceptibles de fournir des données problématiques que les petites listes lorsque cette méthode est appliquée aux données. » a déclaré Ornik.

Ornik, qui utilise couramment des analyses statistiques similaires dans les applications aérospatiales, a expliqué une autre raison pour laquelle leur argument statistique ne fonctionne pas.

« Quand vous regardez des données, une collection de n'importe quoi, et que vous voulez découvrir une valeur aberrante – quelque chose de différent – vous devez supposer que toutes les données proviennent de la même source, de la même distribution. Prenez une liste de victimes par année de naissance. Cela donnerait un graphique de l'âge de chaque personne. Disons que 10 pour cent ont plus de 70 ans. Maintenant, cette répartition ne serait pas vraie pour une liste d'enfants déportés, par exemple, parce que cette liste, par définition, est structurellement différente. Il est également différent d'une liste de tous ceux qui ont une carte d'identité. Les cartes d'identité ne sont délivrées qu'à des personnes qui ne sont pas des enfants. Pourtant, les listes avec lesquelles ces chercheurs ont travaillé proviennent d'une multitude de sources et inclure des listes d'enfants, des listes de personnes qui se marient, des listes de prisonniers de guerre, choses qui, par définition, ne peuvent pas provenir de la même source.

Une autre erreur majeure dans le document original, a déclaré Ornik, est que certaines listes en double ont été traitées comme deux listes distinctes. Cela signifiait qu'environ 67 pour cent de l'ensemble de leur base de données étaient en fait des sous-listes de la plus grande liste.

« Les plus de 7000 listes publiées en ligne par le musée de l'Holocauste ne sont pas organisées », a déclaré Ornik. « Par exemple, il y a deux listes qui contiennent exactement les mêmes données ; l'une est en cyrillique et l'autre utilise l'alphabet latin. Mais ils les ont traités comme deux listes distinctes. Il y a d'autres listes qui contiennent le même nom, mais il y a aucun moyen de savoir s'il s'agit de la même personne ou de deux personnes différentes nées le même jour avec des noms identiques. Ils auraient pu supprimer les erreurs très flagrantes dans lesquelles une liste est clairement dupliquée, mais le reste, vous auriez besoin d'accéder à l'historique d'origine ».

https://phys.org/news/2021-06-rebutt...holocaust.html

COMMENTAIRE

Explications nébuleuses de ce scientifique qui fait mine à la fin de découvrir une supercherie connue de longue date.

Survivant de la Shoah et Juif pratiquant, Josef Ginzburg (1908-1990) émigra après la guerre en Israël, pays dont il n’apprécia guère la mentalité sectaire et raciste. Il finit par revenir en Allemagne, où il espérait finir ses vieux jours en toute quiétude, mais il fut agressé physiquement par un commando sioniste alors qu’il se recueillait sur la tombe de son épouse dans le cimetière juif de Münich. Il dénonça Simon Wiesenthal pour avoir collaboré avec la Gestapo et il publia sous le nom de JG Burg le témoignage de sa visite juste après la guerre du camp de Maïdanek, dans un ouvrage intitulé Maidanek in alle Ewigkeit. Il y fustigeait l’imposture de la Shoah et y dénonçait l’escroquerie des réparations financières versées par la République fédérale allemande (RFA). Son livre fut interdit et tous les exemplaires détruits sur ordre de la justice allemande, pour infraction à l’article 130 du Code pénal, sous l’accusation suivante : « Déclarations haineuses contre le sionisme et tentative de réhabilitation des criminels des camps d’extermination». Lui-même fut déclaré atteint de déficience mentale et contraint de suivre un traitement psychiatrique.

Voici un extrait éloquent de ce livre :

« En qualité de membre d’une commission d’enquête gouvernementale [des forces alliées], j’avais eu, à la fin de 1944, la possibilité de visiter
officiellement le camp de Maïdanek. A l’automne 1945, à titre privé cette fois, j’avais pu visiter les camps de Maïdanek et d’Auschwitz. Tout m’avait été ouvert, partout, dedans et dehors. J’avais eu des conversations approfondies avec des gens qui y avaient été internés pendant des années et qui connaissaient leur camp sous tous ses aspects : aucun d’eux n’avait vu ni entendu parler d’une chambre à gaz où des vies humaines auraient été supprimées. Ils ne connaissaient que des chambres de désinfection, comme il y en avait eu aussi au camp modèle de Theresienstadt, pour y détruire la vermine. J’avais eu aussi la possibilité de m’entretenir librement avec d’anciens membres du personnel auxiliaire : personne n’était au courant de massacres et de chambres à gaz. De meurtres de masse et d’installations de gazage, c’est à Breslau, dans les centres de propagande sioniste, que j’en ai entendu parler pour la première fois. Au début de 1946, j’avais été affecté au camp de personnes déplacées de Neufreimann, près de Münich. J’y exerçais les fonctions de magistrat et de chef de la police. Je faisais aussi partie du département de la presse et de la commission d’enquête sur les camps de concentration nazis auprès du Comité central siégeant dans un bâtiment de la rue Siebert-Möhl à Münich. Comme enquêteur, j’étais alors à nouveau confronté avec des accusations de massacres et de gazages. Il fallait remplir des questionnaires pour l’ONU. »

« Les enquêteurs venaient généralement tous de Palestine et, si on ne répondait pas dans leur sens, c’était la terreur. Prenons l’exemple d’un
médecin de ma connaissance, originaire du même pays que moi. Il répondit aux questions qui lui étaient posées comme on le lui demandait, c’est-à-dire « en son âme et conscience ». A la question concernant sa langue maternelle, qui était le yiddish – ses parents ne parlaient pas d’autres langues – commencèrent les discussions captieuses. Dans le formulaire manquait la case « yiddish » et l’on devait choisir entre le hongrois, le polonais, le roumain, etc. ce qui, en l’occurrence, ne correspondait pas à la réalité. Par ailleurs, son enquêteur souleva des critiques sous prétexte qu’il décrivait les conditions de sa relégation en Transnistrie [territoire situé entre la Roumanie et l’Ukraine, où des Juifs furent transférés en prévision d’y vivre dans un Etat juif autonome] sous un jour trop paradisiaque. Par la suite, ses questionnaires, pourtant corrigés, lui furent également retournés et on le menaça d’empêcher son émigration vers l’Outre-mer. Ainsi, dès cette époque, se trouvaient posées les fondations du Mémorial de Yad Vashem, ce musée des horreurs situé à Jérusalem et qui allait se parer de témoignages de pures fantaisies. Après la liquidation de ces officines bavaroises de fabriques de preuves documentaires, on érigea à Tel-Aviv le Centre mondial de documentation. A ce jour, il se trouve à Yad Vashem des documents concernant plus de trois millions de victimes juives. Afin d’y adjoindre les trois millions manquants, on a diffusé dans le monde entier un prétendu « Formulaire du Mémorial » où, là encore, il s’agit de répondre à quelques questions bien orientées (voir Jüdische Pressedienst, juin 1978, page 19). En raison de son importance, ce formulaire existe aussi en langue allemande, bien que l’allemand, pour tout sioniste qui se respecte, soit boycotté parce que terefa (impur) ».

« Les six millions de fausses déclarations doivent être établies coûte que coûte ! »

« Mais revenons aux chambres à gaz. J’ai reçu l’assurance de différentes personnes qui, sous la contrainte, avaient écrit des rapports sur les installations de gazage, alors qu’elles n’avaient jamais rien vu de tel, bien que la rumeur en circulât dès le milieu de 1944. En tant qu’attaché de presse du camp de personnes déplacées, je pouvais assister sans entrave aux audiences du Procès de Nuremberg et, au Grand-Hôtel, il se tenait souvent des débats entre journalistes juifs non sionistes. A cette occasion, je fis la connaissance, entre autres, d’un journaliste viennois qui, lui aussi, avait été interné pendant plusieurs années à Auschwitz et en connaissait avec précision tous les coins et recoins. Il m’assura en présence du poète juif Ilya Ehrenbourg n’avoir jamais vu là-bas l’ombre d’une chambre à gaz. Ehrenbourg n’en savait rien non plus. Ce qui est en soi extraordinaire vu qu’il était, durant la Deuxième guerre mondiale, le responsable de la propagande de l’URSS. » (pages 53-54)

Source : l’extrait ci-dessus est cité dans le livre du Prof. Robert Faurisson, Ecrits révisionnistes, Edition privée hors commerce, 1999, volume I (1974-1983), pages 269-271

BOCAGE-INFO N° 132/2021
 
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