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Old June 13th, 2013 #61
alex revision
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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard s'intéresse au Droit international (en vigueur en 1944) ainsi qu'aux préceptes de la morale afin de savoir si les bombardements alliés de 1944 au-dessus de la Normandie étaient, ou non, défendables. Puis il cite une partie des protestations élevées en 1944 par les évêques afin de condamner les bombardements alliés meurtriers. Il rappelle ensuite comment, en 1945, les Alliés ont détourné l'attention des peuples de leurs crimes en orchestrant une gigantesque propagande autour des photos prises à la libération des camps. Enfin, il pointe du doigt les terribles conséquence actuelles de cette stratégie alliée qui, finalement, reposait sur un faux précepte moral : "la fin justifie les moyens".
 
Old June 16th, 2013 #62
alex revision
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Vincent Reynouard répond à un contradicteur qui, avec ironie, lui a demandé où étaient passés les millions de juifs disparus en 1945. Reynouard met les choses au point et adopte une stratégie de conte-attaque, une stratégie qu'il conseille à tout le monde.
 
Old June 22nd, 2013 #63
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22 juin 2013 : 73ème anniversaire de l'armistice franco-allemand.

Dans cette vidéo de 30 minutes, Vincent Reynouard démontre :

- qu'à partir de juin 1940, le maréchal Pétain incarnait la légitimité du pouvoir,
- que l'armistice du 22 juin 1940 s'imposait à tous les Français
- que le général de Gaulle était un émigré sans aucun pouvoir,
- que la Résistance était illégale.
 
Old July 3rd, 2013 #65
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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard souligne qu'aujourd'hui, les historiens occultent le procès et la condamnation à mort de celui qui fournissait le Zyklon B aux SS d'Auschwitz, Bruno Tesch. L'explication de cet fait a priori surprenant permet de découvrir l'injustice qui régnait dans les tribunaux chargés de juger les vaincus et la malhonnêteté foncière des historiens de la prétendue Shoah.
 
Old July 11th, 2013 #66
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La prétendue chambre à gaz de Ravensbrück


et


Le faux témoin Marie-Claude Vaillant-Couturier



M.-C. Vaillant Couturier a menti à Nuremberg


En 2001, H. Verbeke a été poursuivi et condamné notamment pour avoir rapporté les propos suivants de V. Reynouard :

Quant à M.-C. Vaillant-Couturier, son cas est encore plus net. Bien qu’elle ait juré devant les juges [de Nuremberg] de dire la vérité, elle n’a pas hésité à mentir en prétendant que des femmes avaient été gazées à Ravensbrück ; or, il est admis depuis 1960 qu’aucun gazage homicide n’a été perpétré dans tous les camps de l’Ancien Reich. Que peut valoir un témoin qui ment sur un sujet aussi important ?

A l’appui de cette allégation, V. Reynouard produisait (sans omettre les références) :

- l’extrait du témoignage de M.-C. Vaillant-Couturier tel qu’il se trouve dans les comptes rendus du procès de Nuremberg ; cette femme prétendait que la chambre à gaz homicide de Ravensbrück était une « baraque en planches » et qu’après la libération du camp, on y sentait « encore l’odeur désagréable des gaz »[1] ;

- la fameuse lettre dans laquelle, en 1960, le directeur de l’Institut d’histoire contemporaine de Munich admit qu’aucun gazage homicide n’avait été perpétré dans tous les camps situés à l’intérieur des frontières de l’Ancien Reich, donc y compris à Ravensbrück[2].

Par conséquent, le juge (qui a condamné H. Verbeke) disposait de tous les éléments pour vérifier qu’en tenant de tels propos, V. Reynouard avait simplement rappelé une réalité officiellement reconnue depuis quarante ans. Le fait qu’il ait tout de même choisi de poursuivre confirme qu’aujourd’hui, les vérités les plus élémentaires sont interdites d’expression.

Les fanatiques de la Mémoire savent qu’ils ne peuvent céder le moindre pouce de terrain : le cas de la prétendue chambre à gaz de Ravensbrück


Un parfait produit de la littérature exterminationiste


Cette dérive était prévisible car les exterminationistes le savent bien : s’ils acceptent d’enlever une simple brique à leur édifice de mensonges, tout s’effondrera. L’affaire de la prétendue chambre de mort de Ravensbrück en est une illustration typique, voici pourquoi : la thèse selon laquelle une chambre à gaz homicide aurait fonctionné à Ravensbrück est notamment défendue par Anise Postel-Vinay , ancienne déportée dans ce camp de 1943 à 1945. Son étude intitulée : « Les exterminations par gaz à Ravensbrück » est un parfait produit de la littérature exterminationiste. On n’y trouve aucune plan, aucun croquis, aucun dessin, aucun résultat d’expertise de prétendue chambre de mort. L’auteur est en outre contraint d’admettre qu’aucun détenu n’a été le témoin oculaire d’un seul gazage homicide[3]. Tout ce qu’A. Postel-Pinay peut produire du côté des « victimes », ce sont les témoignages d’anciens détenus qui « ont vu la baraque avant sa transformation en chambre à gaz » ou qui ont participé à des travaux de transformation durant l’hiver 1944-1945 (Id.).

Les « aveux des bourreaux »

Des aveux très vagues


Dès lors, seuls restent les… aveux faits par les « bourreaux » lors de leur procès ; ils constituent la clé de voûte de la thèse d’A. Postel-Vinay. Dans un premier temps, elle triomphe : « Aucun des accusés des procès de Ravensbrück n’a nié l’existence d’une chambre à gaz à Ravensbrück » (Ibid., p. 313). Mais les ennuis surviennent rapidement, car si aucun n’a contesté cette existence, leurs déclarations sont si vagues et si contradictoires qu’il est impossible d’en tirer quoi que ce soit. A son procès, ainsi, le SS qui était responsable du crématoire déclara : « Les gazages ont commencé en 1945. Je ne sais pas comment ces gazages se sont organisés. Je n’y étais pas. » (Ibid., p. 318). De son côté, l’adjoint du commandant du camp, Johan Schwarzhuber, parla d’une « chambre à gaz, de 9 mètres sur 4,5 environ, [qui] pouvait contenir environ 150 personnes » (Ibid., p. 315) et avoua avoir « assisté à un gazage », mais il se déclara incapable de « dire si les femmes étaient mortes ou étourdies » à la fin, car il n’était « pas présent lorsqu’on vida la chambre» (Ibid., p. 314). Il était donc parti en cours de route !

Des renseignements qui rendent les témoignages suspects


Le seul renseignement qu’il put donner quant au processus de gazage rendait en outre son témoignage suspect :

Un détenu homme, portant un masque à gaz, montait sur le toit et jetait, par une ouverture qu’il refermait immédiatement après, une « boîte à gaz » dans la chambre. J’entendis des gémissements et des plaintes. Après deux ou trois minutes, on n’entendit plus rien [Id.].

La « boite à gaz » dont le contenu était déversé par un orifice laisse croire qu’il s’agissait de Zyklon B. Il faudrait donc croire qu’en trois minutes, suffisamment de gaz avait eu le temps de s’évaporer pour asphyxier les victimes, ce qui est impossible[4].

Quant à Ruth Closius-Neudeck, une ancienne gardienne du camp condamnée à mort et exécutée en 1948, elle avoua également avoir assisté à des gazages, mais ses déclarations sont contradictoires. Le 8 décembre 1947, elle déclara qu’une fois la chambre pleine :

Deux détenus hommes recevaient alors l’ordre de grimper sur le toit au moyen d’une échelle. Je les ai vus ensuite y jeter quelque chose. Après on fermait aussi l’ouverture du toit. Dès que les détenus étaient descendus, on faisait tourner les camions afin qu’on ne puisse entendre les cris. A ce moment-là, je partais à chaque fois [Voy. G. Tillion, op. cit., p. 316].

Un an plus tard, au procès du responsable du crématoire de Ravensbrück, elle dit :

[…] deux kapos — détenus hommes — arrivaient avec une grande boîte qu’ils vidaient dans la pièce où étaient les détenues. Ils faisaient cela par un trou de la cloison [qui avait été aménagée afin de séparer la salle de déshabillage de la chambres à gaz] . Le trou dans la cloison était à 2,50 mètres du sol. Ils avaient une échelle. Je ne voyais pas le contenu [de la boîte], mais j’ai vu un nuage de poussière — comme de la farine. La boîte avait environ 30 centimètres [ ?], et je pouvais la tenir entre mes deux mains. Je ne pouvais voir ce qui se passait à l’extérieur — il faisait sombre [Ibid., p. 317].

L’auteur tente de gommer les contradictions et les bizarreries


Toutes ces déclarations extrêmement vagues, et parfois contradictoires aurait du susciter le doute. Mais A. Postel-Vinay ne veut pas douter. Pour s’en sortir, elle lance : « c’est de la confrontation de ces déclarations même contradictoires que se dessineront les faits que nous cherchons à cerner » (Ibid., pp. 317-8). Autrement dit : je pose en principe que des gazages ont eu lieu, et je fais en sorte de gommer toutes les contradictions ou les difficultés relevées dans les « aveux ». Cette méthode, A. Postel-Vinay l’applique tout au long de son étude, palliant les manques grâce à l’imagination et à la malhonnêteté :

- Le responsable du crématoire affirme-t-il n’avoir rien vu ? C’est qu’il n’a « pas voulu donner d’indication sur le déroulement des opérations de gazages, qu’il a pourtant forcément vues, si ce n’est plus » (Ibid., p. 319).

- R. Closius-Neudeck a-t-elle varié dans ses déclarations, affirmant une fois que le gaz était introduit du haut du toit pour ensuite prétendre qu’il l’était de l’intérieur du local, par un trou pratiqué dans la cloison ? « On peut penser qu’à la suite de difficultés que nous ignorons le SS avaient modifié leur manière de procéder » (Ibid., p. 317, je souligne).

- A-t-elle parlé d’une poudre blanche alors que le Zyklon B se présentait sous forme de granulés ? « Il peut s’agir d’une autre préparation contenant de l’acide cyanhydrique sous forme de poudre ou de cristaux qui demande de l’eau pour que le gaz se dégage » (Id.).

Voilà donc comment on écarte tout ce qui gêne…

Recours au conditionnel


Il n’en reste pas moins que les « aveux » recueillis ne permettent pas d’y voir clair. A. Postel-Pinay le reconnaît d’ailleurs, tout comme elle reconnaît qu’avec les « minces indices » recueillis « il est impossible de retracer la technique de l’opération de gazage » (Ibid., p. 320). Mais cette impossibilité ne l’émeut pas. A aucun moment, elle n’en déduit que, finalement, les gazages homicides à Ravensbrück relèvent du mythe. Comme d’habitude, elle recourt au conditionnel :

Les deux petits orifices vus par Suzanne Hugounencq [une déportée qui avait participé aux travaux d’aménagement durant l’hiver 1944-1945] pouvaient servir à l’arrivée d’eau pour le nettoyage ou à la ventilation, ou encore à l’arrivée de l’oxyde de carbone, si c’était le gaz utilisé. Quant au trou central [au sol] rempli d’eau, il a pu servir à l’évacuation de l’eau de nettoyage et des excréments des suppliciés, mais aussi comme réserve d’eau nécessaire à la réaction devant dégager le gaz toxique, si l’acide cyanhydrique était sous forme de poudre et non fixé sur de la terre d’infusoire, comme c’est le cas pour le Zyklon B [Ibid., pp. 320-1].

Des difficultés insurmontables


De l’oxyde de carbone en… boîte ?


On notera l’incroyable légèreté de l’auteur : elle émet l’hypothèse que le gaz utilisé aurait pu être de l’oxyde de carbone. Mais dans ce cas, que deviennent les « aveux » de J. Schwarzhuber et de R. Closius-Neudeck selon lesquels le produit utilisé était contenu dans des boîtes ? A-t-on une fois vu de l’oxyde de carbone en boîte ?

Comment la poudre aurait-elle pu tomber au sol dans le trou rempli d’eau ?


Quant au trou rempli d’eau, elle profite de sa présence pour tenter de donner un semblant de crédibilité à la thèse selon laquelle le gaz utilisé aurait pu se présenter sous forme d’une poudre blanche. L’ennui est que d’après ses conclusions, 150 personnes étaient gazées dans une chambre de 25 m² à peine[5], ce qui faisait six personnes par mètre carré. Comment croire que dans cette pièce bondée, la poudre jetée depuis une cloison ait pu tomber ne serait-ce qu’au sol, et plus encore dans ce « trou central » ? Ce mode opératoire aurait été absurde.

Une épreuve de vérité que les exterminationistes refusent de passer


On le voit, l’épreuve qui consiste à tenter d’expliquer un processus de gazage permet tout de suite se rendre compte si le local présenté comme une chambre à gaz a réellement pu servir à des fins homicides. On comprend donc pourquoi, aujourd’hui, les exterminationistes fuient cette épreuve comme la peste. Mais une fois encore, A. Postel-Pinay reste imperturbable : elle continue de croire aux gazages homicides même s’il est impossible d’expliquer comment ils ont eu lieu.

Graves contradictions sur les dates


L’ancienne déportée butte ensuite sur de graves contradictions lorsqu’il est question de la date à laquelle les (prétendus) gazages homicides auraient pris fin. « […] plusieurs témoignages, écrit-elle, précisent que l’on a continué à gazer au moins jusqu’au 23 avril [1945] » (Ibid., p. 322). Et de citer le médecin SS Winkelmann, le docteur Adélaïde Hautval ainsi que M.-C. Vaillant-Couturier. L’ennui est que, toujours d’après l’auteur :

La fin des assassinats par gaz est située par de nombreuses détenues et plusieurs SS au début d’avril 1945, après les grands gazages de la semaine sainte. « On a fait sauter la chambre à gaz », disent plusieurs témoignages [Id.].

Nouvelles contradictions insurmontables


Cette fois, impossible de ne pas s’interroger : « comment peut-on faire “sauter” une simple baraque en bois, que d’ailleurs de nombreuses détenues ont vue après le 1er mai, saccagée mais toujours debout ? » déclare A. Postel-Pinay (Id.). Grave question en effet, et qui pourrait amener à conclure que beaucoup de gens ont menti dans leurs « témoignages » ou dans leurs « aveux ». Mais cette hypothèse, l’auteur la rejette naturellement, car si elle s’avérait, c’est toute sa méthode historique qui s’effondrerait. Alors, elle donne une explication qui permet de tout sauver.

L’auteur invoque une confusion entre les bâtiments


Elle nous apprend qu’en 1944, à Ravensbrück, a débuté la construction d’une nouvelle bâtisse, appelée die neue Wäscherei (la nouvelle laverie). A priori, on ne voit pas le rapport. Mais elle nous l’explique en assénant que « nouvelle laverie » était un « nom de camouflage » ; en vérité, ce local d’ « aspect [extérieur] parfaitement anodin » était une « double chambre à gaz, en dur, ultra-moderne » (Ibid., p. 323). Or, poursuit-elle, il a été détruit « au début d’avril [1945] sans avoir servi, semble-t-il » (Id.). Dès lors, tout s’éclaire : les « témoins » qui ont parlé d’une chambre à gaz ayant sauté début avril 1945 évoquaient cette « nouvelle laverie » ; ils en ont erronément déduit que les gazages avaient cessé à cette date. Par conséquent, personne n’a menti et les contradictions entre les « témoins » ne sont qu’apparentes.

Une « chambre à gaz » construite loin du crématoire


Cet exposé laisse cependant de nombreuses questions sans réponse. En effet, à supposer que les Allemands aient voulu construire une chambre à gaz homicide, il l’aurait placée non loin du crématoire, afin de faciliter le processus d’extermination. Or, lorsqu’on consulte le plan de Ravensbrück fourni dans l’ouvrage de G. Tillion, on s’aperçoit que la bâtisse construite fin 1944 était située loin du crématoire, si bien que les corps des victimes auraient dû être traînés devant les baraquements, les cuisines et les bâtiments de l’administration avant d’être incinérés. En revanche, la bâtisse était située à côté du local… de désinfection. Par conséquent, sa destination comme laverie apparaît logique.

Aucune preuve d’un camouflage


Si A. Postel-Pinay souhaitait démontrer qu’il s’agissait d’un camouflage et que les Allemands avaient poussé la tromperie jusqu’à construire une chambre à gaz loin du crématoire afin de la camoufler, il lui fallait apporter des preuves solides. Or, l’assertion selon laquelle la « nouvelle laverie » était en réalité une double chambre à gaz (sous-entendu : homicide) ne repose sur rien de tangible. L’auteur est incapable de produire le moindre document allemand. Tout ce qu’elle peut avancer, ce sont… deux témoignages. Le premier émane d’un ancien déporté, Walter Jahn, qui, lors du procès d’Oswald Pohl en 1947, a déclaré avoir « reçu l’ordre de monter l’installation électrique d’une double chambre à gaz» (Id.). A. Postel-Pinay produit le croquis de cette chambre signé du témoin (Ibid., p. 423). Le second émane d’un membre du personnel du camp, une secrétaire qui « a déclaré que le commandant Suhren avait ordonné la construction d’une chambre à gaz dès l’automne 1944 » (Ibid., p. 323).

Recours à un document apocryphe


Afin de donner un semblant de crédibilité à sa thèse, elle note une concordance de dates :

Il est intéressant de noter qu’au moment où Himmler va ordonner l’arrêt des gazages à Auschwitz il fait construire une double chambre à gaz de capacité moyenne à quelque quatre-vingt kilomètres au nord de Berlin, dans le camp de Ravensbrück [Id.].

Malheureusement pour A. Postel-Pinay, le prétendu ordre de Himmler est apocryphe [Voy. Les victoires intellectuelles du révisionnisme (éd. du VHO, mai 2000), pp. 94-6.].

Comment les déportés auraient-ils pu deviner ?


Enfin, si, comme semble le croire l’auteur, cette chambre à gaz n’a jamais servi, on ne voit pas pourquoi sa destruction aurait permis aux déportés de conclure que les gazages avaient cessé. La (prétendue) chambre à gaz en bois, elle, continuait à fonctionner.

Pourquoi les exterminationistes savent qu’ils ne leur faut jamais céder un pouce de terrain


La tentative d’A. Postel-Pinay de démontrer l’existence d’une chambre à gaz à Ravensbrück malgré l’absence de documents, le caractère vague des « aveux » et les contradictions relevées chez les différents « témoins » se solde donc par un échec. Mais c’est alors que l’exterminationiste est pris de vertige. En effet, si le mythe des chambres à gaz s’effondre dans un camp comme Ravensbrück, toute leur méthode historique qui repose sur le recours aux « témoignages » et aux « aveux » afin de pallier l’absence de documents s’effondrera. Il sera alors possible de dire : « Fautes de preuves solides, vous avez prétendu démontrer l’existence d’une chambre à gaz à Ravensbrück sur la foi de “témoignages” et d’“aveux”. Aujourd’hui, on sait qu’il n’y a jamais rien eu de tel. Dès lors, que valent vos exposés semblables à propos de Majdanek, de Mauthausen, de Sachsenhausen, du Stutthof, de Neuengamme, de Natzweiler, de Dachau, d’Auschwitz, de Belzec, de Treblinka, de Sobibor, de Chelmo. Que valent vos exposés sur les prétendus massacres de masse à l’Est. Pourquoi ce qui s’est révélé être un échec pour Ravensbrück serait un succès ailleurs ? ».

On comprend donc pourquoi les fanatiques de la mémoire empêchent la remise en question des tous les mythes issus de la seconde guerre mondiale, même ceux dont la fausseté est reconnue officiellement (comme l’existence d’une chambre à gaz homicide à Ravensbrück). L’enjeu, pour eux, est capital : ils savent que s’ils cèdent un seul pouce de terrain, tout s’effondrera.


[1] TMI, VI, 233. Cette page a été reproduite en fac-similé dans : L’Histoire, la vraie, sera écrite par les révisionnistes (éd. du V.H.O., mars 2000), p. 17.

[2] Voy. Les camps de concentration, mythes propagés et vérités occultées. Entretien exclusif avec Vincent Reynouard (éd. VHO, 2000), p. 5, col. B, note 5.

[3] « Aucun détenu n’a été le témoin direct d’une opération de gazage » (Voy. Germaine Tillion, Ravensbrück, éd. du Seuil, 1973 [réédité avec des changements en 1988], annexe I, p. 319). D’après l’histoire officielle, les onze détenus qui travaillaient au commando du crématoire et qui auraient pu donner tous les détails ont été « assassinés le 25 avril 1945 » (Id.).

[4] Voy. Le Rapport Rudolf (éd. du VHO, 1996), pp. 55-57.

[5] Le nombre de personnes gazées est issu des « aveux » de J. Scharzhuber. Quant à la surface de la pièce, on se souvient que J. Schwarzhuber a parlé d’une « chambre à gaz, de 9 ètres sur 4,5 environ ». Toutefois, d’après les déportés qui avaient participé aux travaux d’aménagement, une cloison séparait le local en deux pièces plus petites, de 6 et 3 mètres de long. A. Postel-Pinay parle donc d’une chambre à gaz qui aurait « pu mesurer 6 mètres sur 4» (Ibid., p. 321).
 
Old July 12th, 2013 #67
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Un florilège de "témoignages" délirants entendus lors du "procès de Tokyo" (l'équivalent du procès de Nuremberg, mais pour le Japon). Des "témoins" qui survivent à 5, 7, 11 voire 38 coups de baïonnette et qui réalisent des exploits dignes de Rambo... Hilarant ! A opposer à ceux qui ne cessent d'invoquer les "témoignages"...
 
Old July 17th, 2013 #68
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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard dévoile et démonte, documents à l'appui, les mensonges que l'on trouve dans les livres modernes sur l'Holocauste destinés aux adolescents. Photo mal légendées, plans utilisés abusivement, faux témoin qui prétend avoir survécu à la "chambre à gaz"... Surtout, Reynouard souligne que dans l'immense majorité des cas, les auteurs des livres s'abstiennent de donner la moindre représentation physique de l'arme du crime : la "chambre à gaz" homicide. Cette omission constitue déjà un aveu. Et quand deux auteurs tentent de montrer une "chambre à gaz" (Claude Quétel et André Rogerie), Reynouard démontre que la tentative se solde par un fiasco lamentable...
 
Old July 21st, 2013 #69
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La nouvelle livraison de notre revue, "Sans Concession", vient de paraître. Un numéro triple, 174 pages grand format, avec les meilleurs éditoriaux de Vincent Reynouard et tous les documents historiques reproduits. 35 € port compris.

A commander en écrivant à : [email protected].

En l'achetant, vous soutenez notre combat sur Internet. Merci.
 
Old August 2nd, 2013 #70
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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard démontre, en s'appuyant sur le décret de dissolution de l'Oeuvre Française (le 25 juillet 2013), que la République pratique hypocritement le délit d'opinion et verrouille idéologiquement la société.
 
Old August 15th, 2013 #71
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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard souligne le caractère essentiel du national-socialisme, c'est-à-dire la redécouverte du Bien commun en matière de gouvernement. Il expose minutieusement la différence qui existe entre l' "intérêt général" des démocraties et le véritable "Bien commun". Il démontre que le modèle de société adopté par un peuple vient, au départ, de l'idée que l'on se fait de la création et, plus particulièrement, de l'Homme. La République repousse l'idée d'ordre naturel et voit dans l'Homme un simple animal perfectionné ; dès lors, elle ne se préoccupe que d'assurer l'intérêt général. Mais croire que l'Homme n'est pas là par hasard et qu'il s'inscrit dans un ordre naturel reflet de l'ordre divin conduit naturellement à une organisation politique soucieuse du Bien commun. S'appuyant sur "Mein Kampf", Reynouard rappelle que, contrairement aux allégations d'une propagande mensongère, Hitler croyait en Dieu et à un "Homme, image du Seigneur": d'où la société qu'il a bâtie et les succès qu'elle a connus.
 
Old August 21st, 2013 #72
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Dans cette courte vidéo, Reynouard annonce qu'il va bloquer l'internaute "vone nier" dont les nombreux messages discourtois polluent la chaîne "sansconcessiontv". S'appuyant sur le précédent du massacre de Katyn, Reynouard réfute l'argument selon lequel, en tant que national-socialiste déclaré, il serait d'emblée disqualifié comme chercheur. Enfin, il invite "vone nier" au débat face à face. Que va répondre ce dernier ?
 
Old August 30th, 2013 #74
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Démasquer ceux qui refusent le débat. Démontrer qui sont les gens de bonne foi et qui sont ceux de mauvaise foi. Dans cet exposé , V. Reynouard démontre soigneusement, avec tous les exemples nécessaires à l'appui, que le refus du débat affiché par les antirévisionnistes est totalement illégitime.
 
Old September 3rd, 2013 #75
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Dans cette vidéo, Reynouard s'appuie sur le passage du livre qu'un contradicteur lui reprochait de ne pas avoir lu (Antoine Prost, "Douze leçons sur l'histoire) pour démontrer que, théoriquement, un historien et un non historien pourraient débattre débat sur les "chambres à gaz" homicides allemandes. Mais ensuite, il explique pourquoi aucun débat ne sera jamais possible avec les historiens : le conditionnement dont ils ont été victimes à l'université leur interdit même de se poser la question de technicité du "Génocide".
 
Old September 3rd, 2013 #76
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Reynouard démontre qu'il est hypocrite de parler de "réconciliation" franco-allemande lorsque le président de la République fédérale d'Allemagne vient visiter les ruines d'Oradour. Il interpelle également le survivant Hébras et lui explique que ses agissements, à cette occasion, confirment que la thèse officielle est mensongère.
 
Old September 5th, 2013 #77
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Dans cette vidéo, Vincent Reynouard répond à plusieurs arguments de "vone nier". Il en profite pour prendre l'historien du Struthof, Robert Steegmann, en flagrant délit d'erreur. Ce dernier se fonde sur les "aveux" de l'ancien commandant pour expliquer le fonctionnement de la prétendue "chambre à gaz" du camp. S'appuyant sur la chimie, Reynouard démontre que ces "aveux" sont totalement irrecevables.
 
Old September 9th, 2013 #78
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Suite à la censure de deux vidéos en quelques heures, Vincent Reynouard démontre que depuis 1945, la guerre contre le national-socialisme continue. Reynouard décrit les méthodes scandaleuses utilisées lors des procès idéologiques d'après-guerre (procès de l'Epuration en France et procès de Nuremberg). Il explique ensuite comment, depuis les années 50, cette guerre idéologique dure.
 
Old September 14th, 2013 #79
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Un contradicteur prétend que la présence d'excavatrices à Treblinka suffit pour démontrer qu'il s'agissait d'un camp d'extermination. La photo qui montre cette excavatrice viendrait en effet confirmer la thèse officielle selon laquelle, à partir du l'automne 1942, les centaines de milliers de gazés à Treblinka auraient été déterrés pour être ensuite brûlés sur de gigantesques grills. Dans cette vidéo, Reynouard démontre l'inanité de cet argument.
 
Old September 18th, 2013 #80
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Le "témoignage" de Maurice Benroubi (faux témoin qui avait été démasqué par le professeur Faurisson dès 1979) vient d'être publié aux éditions Albin Michel. Ce juif prétend avoir fait partie des "Sonderkommandos" à Birkenau. Il aurait été affecté au "Bunker I". Se fondant sur la totalité du "témoignage", Vincent Reynouard démontre pourquoi son récit est mensonger; là où il n'y aurait eu qu'une ancienne fermette paysanne rouge de 95 m² reconvertie en "chambre à gaz", le "témoin" voit deux bunkers gris de... 400 m² chacun! S'appuyant sur les travaux de Carlo Mattogno, Reynouard dévoile également quelle a pu être la source d'inspiration de Maurice Benroubi : les rumeurs nées en 1942 et dont on retrouve la trace grâce à des documents d'époque. D'où le fait que de nombreux "témoignages" semblent (de loin) concordants; s'ils le semblent, ce n'est pas un gage de leur véracité, cela signifie que leurs auteurs ont eu vent des mêmes rumeurs. En vérité, M. Benroubi n'est qu'un halluciné aveuglé par sa haine anti-allemande ; il va jusqu'à prétendre que si les Allemands avaient gagné la guerre, ils auraient exterminé des centaines de millions de personnes (Slaves, Noirs...), jusqu'en... Amazonie. Découvrez ce faux témoin délirant...
 
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