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Old June 17th, 2018 #1
alex revision
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Default Liberté pour tous les (révisionnistes) prisonniers politiques de la RFA !

Liberté pour tous les prisonniers politiques !

Liberté pour tous les prisonniers politiques de la RFA !

Grand rassemblement de solidarité le 30 juin 2018 à 12 heures
à la RATHENAUPLATZ de NUREMBERG


« Les gens sont réduits au silence non pas parce qu’ils mentent, mais parce qu'ils disent la vérité. Quand les gens mentent, leurs mensonges peuvent se retourner contre eux. Mais s'ils disent la vérité, il n'y a pas d'autre antidote que la violence

Theodor Fontane (1819-1898)


Parce qu'il a dit la vérité, Gerd Ittner est incarcéré depuis le 12 mai 2018 à la prison de Nuremberg. Parce qu'elle demande des preuves pour le prétendu crime du peuple allemand, Ursula Haverbeck est incarcérée depuis le 7 mai 2018 à la prison de Bielefed, alors qu’elle est âgée de 89 ans. Parce qu’elle s’est excusée dans une vidéo, à titre posthume, pour les calomnies dont ses parents ont été les victimes, Monika Schaefer est incarcérée depuis le 3 janvier 2018 à la prison de Munich. Pour le même motif, Horst Mahler est incarcéré dans une prison du Brandeburg et Wolfgang Fröhlich en Autriche. Ces patriotes sont-ils des criminels ? Ont-ils porté préjudice à qui que ce soit, ou appelé à la violence contre les personnes ? Non. Au contraire. Tous se déclarent non-violents et pacifiques. Alors que les dissidents épris de paix et de justice sont réduits au silence et incarcérés dans des conditions extrêmement dures pour avoir mis le doigt dans la plaie du mensonge, les demandeurs d'asile et les migrants économiques peuvent impunément violer, voler et tuer. En dépit de ces crimes graves, ils sont traités avec des gants par la justice de la RFA et, le cas échéant, condamnés à des peines ridicules. Les procureurs et les juges essaient de trouver des excuses pour justifier ces crimes odieux. Et si un malheureux migrant doit vraiment être condamné à de la prison, il ne sera pas emprisonné car, bien sûr, aucune cellule n'est libre pour lui. Mais il y aura toujours de la place pour les dissidents. Quant à elle, la gauche-caviar peut appeler au génocide contre le peuple allemand (« Bomber Harris revient ! ») (« Toutes les bonnes choses viennent d'en haut ! »). La gauche peut tout se permettre : sa violence contre les personnes et les biens reste impunie, et les casseurs sont même soutenus financièrement par le gouvernement pour des montants non négligeables. C’est toujours deux poids et deux mesures. Et on ose affirmer que la RFA est un Etat de droit libéral-démocratique.

Dans une vidéo « La liberté de parole à l'épreuve de Nuremberg »


on a un aperçu des fondements de la « Loi fondamentale » qui fait office de constitution en RFA et on voit ce qu’il en est du respect des droits de l'homme, pourtant garantis, de la liberté de recherche et d'expression, de l'égalité de traitement devant la loi, etc.

En réalité, la RFA étouffe la voix de ses dissidents, ce qui montre l’abîme qui existe entre la propagande et la réalité. Les raisons en sont rapidement identifiables : l'Allemagne n'est toujours pas libre, c’est un pays occupé et la RFA n'est rien de plus qu'une construction administrative imposée par les puissances victorieuses alliées. Depuis le 8 mai 1945, les armes se sont tues, mais la guerre contre l'Allemagne continue d'une manière particulièrement perfide, celle de la guerre psychologique. Dans cette optique, la liberté, la démocratie, les Droits de l'homme et l'Etat de droit nous ont été « enseignés » par les « libérateurs ». Ce que les Alliés ont imposé dans le cadre d'une procédure constitutionnelle, ils l’ont ensuite appliqué de novembre 1945 à avril 1949 à Nuremberg. Le prétendu « Tribunal militaire international » des vainqueurs était supposé juger les crimes de guerre présumés des vaincus tout en préservant les apparences légales. Un simple coup d'œil sur deux articles des statuts de ce tribunal nous montre le vrai visage cette instance sans appel. L’Article 19 des statuts stipule que : « Le Tribunal ne sera pas lié par les règles techniques relatives à l’administration des preuves. » Quant à l'Article 21 des statuts, il stipule que : « Le Tribunal n’exigera pas que soit rapportée la preuve de faits de notoriété publique, mais les tiendra pour acquis. »

Les prétendus crimes des Allemands ont été reconnus et établis comme des faits incontestables : la preuve n'avait pas à être administrée. Et comment établir les faits avec seulement 20 défenseurs contre 70 procureurs épaulés par plus de 1000 assistants ? Comme par hasard, des documents et des témoins à décharge sont restés introuvables pendant que d’autres témoins, à charge, ont été entendus sous la contrainte. Les crimes de guerre des Alliés, comme les campagnes de bombardement de terreur contre les villes allemandes, l’expulsion forcée des Allemands de l'Est, le vol de leurs biens, l’assassinat et le viol de masse des femmes allemandes ont été écartés des débats. Il ne s'agissait pas d'établir de façon probante et de condamner des crimes de guerre, mais seulement de criminaliser le gouvernement allemand du Reich et le peuple allemand dans son ensemble. Les vainqueurs de la Seconde guerre mondiale se sont transformés en justiciers et, comme le relève l'historien britannique F.J.P. Veale : « la poursuite de la guerre totale par des moyens légaux est la conséquence de la capitulation sans condition. » La propagande d'atrocités sous toutes ses formes a ouvert la porte à la justice arbitraire des vainqueurs. Ce fut le début d’une campagne de rééducation des Allemands qui encourent un blâme éternel pour ce qu’ils sont, et qui n’ont même pas le droit de réaliser qu’ils vivent sous un régime de contrainte. Aujourd'hui encore, cette contrainte est niée, et ces effets sont salués avec ferveur par les collaborateurs allemands de l’occupant. Les « Procès de Nuremberg » peuvent être décrits comme la mère de tous les crimes judiciaires. C’est le plan directeur des procès politiques. C’est maintenant la norme pour les tribunaux qui appliquent avec zèle cette parodie de justice. Les procureurs ne sont pas tenus de produire les preuves de leurs allégations et les accusés se voient refuser le droit de produire les preuves de leurs affirmations. Lors du procès d’Ernst Zundel devant le tribunal régional de Mannheim, le juge Ulrich Meinerzhagen a déclaré : « Il est tout à fait hors de propos de discuter si l'Holocauste a eu lieu ou non ! Sa NÉGATION est punissable en Allemagne. Et il n’y a que ça qui compte devant ce tribunal ! » (Source : Tageszeitung, Berlin, 9 février 2007)

Le moment est venu de se débarrasser du carcan qui entrave la liberté d’expression et qui se manifeste sous la forme des paragraphes illicites de l’article 130e du Code pénal allemand.

Source : https://endederluegedotblog.wordpress.com/


Rappel : adresses des prisonniers d’opinion (non exhaustif)

Ursula Haverbeck : http://ursula-haverbeck.info/

Ursula Haverbeck, Umlostrasse 100, D-33649 Bielefeld (Deutschland)

Monika Schaefer, Schwarzenbergstrasse 14, D-81549 München (Deutschland)

Gerhard Ittner, Mannertstrasse 6, D-90429 Nürnberg (Deutschland)

Horst Mahler, Anton-Saefkow-Allee 22, D-14772 Brandenburg (Deutschland)

Dipl.-Ing. Wolfgang Fröhlich, JA-Stein, H.Nr. 46484, Steiner Landstrasse 4, A-3504 Krems/Stein (Austria)

Une carte postale suffit ! (c’est la fréquence et la quantité qui compte)

Merci d’avance.


BOCAGE-INFO - Dépêche No 43/2018
 
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