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Old May 21st, 2021 #921
alex revision
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1945: les Alliés mentent sur Dachau pour accréditer le mythe des “chambres à gaz”

L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.5)

Dans cet épisode, Vincent Reynouard prend les Anglo-américains en flagrant délit de mensonge sur les “chambres à gaz”. Documents à l’appui, il expose la propagande que les vainqueurs ont organisée autour de Dachau : après avoir affirmé l’existence d’une “chambres à gaz” dans ce camp (mai-octobre 1945), les Anglo-américains ont abandonné cette accusation lors du procès de Dachau (novembre-décembre 1945). Mais ils l’ont reprise au le grand procès de Nuremberg, car ils n’avaient rien d’autre à produire (la propagande soviétique étant plus grotesque encore). Pour servir leur mensonge, ils ont demandé à un ancien prisonnier à Dachau, Franz Blaha, de corser sa déclaration afin de la rendre plus accusatrice.

Plan de l’épisode

1. Les Alliés cachent le fait que Dachau fut frappé par le typhus dans les quatre derniers mois de la guerre

2. La vérité sur les conditions à Dachau
a. 1942-1944 : un camp bien tenu
b. Dachau : un camp hôpital débordé dans les derniers mois

3. Printemps-été 1945 : les Alliés orchestrent une propagande autour de la « chambre à gaz » de Dachau

4. Automne 1945 : les Alliés abandonnent le mythe de la « chambre à gaz » de Dachau

5. Décembre 1945-janvier 1946 : les Alliés reprennent le mythe de la « chambre à gaz » de Dachau

https://blogue-sc.com/2021/05/1945-l...chambres-a-gaz
 
Old May 22nd, 2021 #922
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Comment Dachau fournit l'archétype de la “chambre à gaz homicide nazie”

L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.6)

Dans cet épisode, Vincent Reynouard démasque les tromperies dont se sont rendus coupables les Américains afin de fabriquer leur « chambre à gaz » à Dachau et, ainsi, d’accréditer le mythe des « six-millions-chambres-à-gaz ».

Plan de l’exposé

L’ineptie flagrante de la thèse officielle
La tentative désespérée d’Henry Mazal pour sauver la thèse officielle
Une salle de douche aménagée en chambre à gaz expérimentale temporaire
Les Américains ont trafiqué les lieux

https://blogue-sc.com/2021/05/commen...homicide-nazie
 
Old May 23rd, 2021 #923
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Le texte qui suit est paru voilà 79 ans tout juste. Il exprime mon idéal politique. L’éditorialiste expliquait :

"Nous n'avons pas attendu la défaite pour nous abandonner à un matérialisme fermé à toute vraie grandeur. On peut même dire que la généralisation de cet état d'esprit fut une des causes déterminantes du désastre.

"Le Maréchal a tout de suite compris la nécessité de nous rendre un idéal. Il l'a jalonné de ces trois mots: «Travail, Famille, Patrie». Mais, sans un effort constructif suffisant, cette trinité nouvelle s'avérerait bientôt aussi décevante que sa devancière: «Liberté, Égalité. Fraternité».

"Dans notre existence stoïcienne de demain, le travail devra être considéré comme la vraie source de joie. (...) Le travail doit fournir à l'individu le moyen de réaliser pleinement sa personnalité, en la mettant tout entière au service de la Patrie.

"Le moule naturel ou les futurs citoyens doivent se former à leur rôle civique et social, c'est assurément la famille. C'est dire que le sentiment de la solidarité communautaire doit l'emporter sur le particularisme familial. A proclamer l'antériorité des droits de la famille sur ceux de l'État, on risquerait de rétrograder vers les formes périmées de la «gens » romaine et de la féodalité.

"De même l'idée de Patrie, si elle synthétise la diversité continue de nos traditions, doit constamment s'enrichir de données nouvelles. Elle est un permanent devenir, dans lequel la notion de solidarité humaine doit progressivement se substituer aux cloisonnements de prestiges passés.
(...) l'idéal qu'il faut insuffler à la France de demain (...) est celui de l'abeille dans la ruche. Soyons ardents et enthousiastes et rappelons-nous ce beau vers d'Agrippa d'Aubigné: «L'enthousiasme apprend à mieux connaître et voir.»"

Cet éditorial souligne la nécessité du dépassement de soi.

1.Le Travail ne doit pas s’accomplir uniquement pour gagner son argent, mais aussi – et surtout – pour servir la patrie ;

2.La cellule familiale ne doit avoir pour seul horizon la sphère privée, elle doit aussi – et surtout – s’organiser pour rendre service à la communauté ; car elle est au service de la communauté.

3.Défendre la Nation ne consiste pas à vouloir conserver toutes ses traditions et à rejeter d’emblée toute nouveauté, mais à accueillir favorablement les innovations bienfaisantes (qu’elles soient matérielles ou doctrinales) dans un processus permanent de dépoussiérage des traditions. Par exemple, l’évolution des nanotechnologies permet d’implanter des prothèses de plus en plus perfectionnées. Qui refuserait le remplacement d’un œil perdu par une cellule photoréceptrice ? Cependant, faut-il poser une limite et, si oui, laquelle ? Tel est le défi que pose le transhumanisme. On n’y répondra ni en le repoussant intégralement, ni en l’acceptant aveuglément… La Vie est en perpétuelle évolution, la mission des élites sociale est de l'orienter en posant les limites.

Tel est mon idéal pour la France et pour l'Europe.
 
Old May 23rd, 2021 #924
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Message à Marc-Édouard Nabe

M. Nabe,

Dans Les Porcs 2, vous me traitez de «connard», de «gros adipeux antipathique au bord du mongolisme» et de «porc suintant» (p. 308). Généralement, ce genre d’attaque cache une impuissance à répondre sur le fond. Et en effet, vous prétendez que dans l’une de mes vidéos, je m’appuierais «sur le fait historique qu’il y avait eu des bombardements massifs sur l’Allemagne qui avaient fait des millions de morts» pour échafauder la thèse suivante : «tous ces cadavres de civils morts dans les villes de Berlin, Dresde, Hambourg, (…) les alliés les avaient transportés dans des camps de travail pour faire croire à l’existence des camps de la mort. Et ils les avaient vêtus de pyjamas rayés, comme des poupées!» Vous lancez : «Oui, la trouvaille de Reynouard, c’était donc qu’on avait discrétos déposé des cadavres de civils allemands à Auschwitz, Bergenbelsen [sic], etc. pour faire croire que c’étaient ceux de juifs exterminés et pas encore brûlés.» Vous m’avez bien mal écouté, M. Nabe, car je n’ai jamais proféré une telle ineptie. Je vous mets d’ailleurs au défi de présenter l’extrait de la vidéo dans laquelle j’affirmerais ce que vous prétendez.

Mais allons plus loin. Après m’avoir imputé des propos que je n’ai jamais tenus, vous commentez : «Reynouard ne disait pas comment les vainqueurs avaient transbahuté ces milliers de cadavres à travers l’Allemagne en feu, mais qu’importe!» J’en déduis que pour vous, la faisabilité technique d’un fait – le «comment» – est importante, capitale même. Voilà un point sur lequel nous nous rejoignons.

Alors j’en profiterai. Car si vous avez le droit de vous exprimer, ce droit implique un devoir : celui de répondre de vos écrits face à la personne que vous avez attaquée et prétendu réfuter.

Voilà pourquoi je convie à un débat filmé. Nous discuterons pour savoir, si, techniquement, les SS auraient pu, conformément aux récits des témoins, gazer des centaines de milliers de Juifs dans les locaux d’Auschwitz présentés aujourd’hui comme ayant été des «chambres à gaz» homicides. Nous nous envisagerons d’abord les crématoires 2 et 3 avec leurs 700 000 gazés prétendus.

J’ose espérer, M. Nabe, que vous ne vous défilerez pas.

Vincent Reynouard

 
Old May 25th, 2021 #925
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L’origine du duo «six millions-chambre à gaz» (ép.7)

Shoah : un mensonge allié qui a permis la victoire du sionisme

Dernier épisode et conclusion. V. Reynouard explique comment, en 1945-1946, les Alliés ont accrédité, pour leur propre compte, le bobard soviétique des « chambres à gaz ». Ils ont odieusement torturé des Allemands pour qu’ils signent les confessions qu’on exigeait d’eux.
Mais les vainqueurs se sont alors trouvés piégés par les sionistes qui ont saisi l’occasion pour exiger et obtenir, au nom des « 6 millions d’exterminés », l’État d’Israël…

Plan de l’épisode

VII. « Chambres à gaz » : une histoire fondée entièrement sur des faux témoignages et des « aveux » extorqués

Septembre 1945 : le principal témoin au premier procès d'Auschwitz était un faux témoin notoire
Mars 1946 : les vainqueurs extorquent des « aveux » au premier commandant du camp d'Auschwitz
Des Allemands torturés pour qu'ils « avouent »
Des pressions psychologiques pour extorquer d’autres « aveux » et la complicité des accusés

Conclusion

https://blogue-sc.com/2021/05/un-men...re-du-sionisme
 
Old May 27th, 2021 #926
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COVID-19, vaccination et complicité

En France, la campagne de vaccination contre les covid-19 pourrait connaître un ralentissement sensible si… Quel est ce « si » et surviendra-t-il ? Dans la négative cela confirmera ce que dit Vincent Reynouard depuis près de vingt ans.

https://www.bitchute.com/video/UV1qOQv8lYjh/
 
Old May 28th, 2021 #927
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L’“arnaque covid” démentie au Texas? Toujours appliquer la méthode révisionniste

Un message circule d’après lequel l’“arnaque covid” a été démentie au Texas, suite à la levée, par le Gouverneur, de toutes les restrictions sanitaires. Fidèle aux enseignements du professeur Faurisson, Vincent Reynouard a vérifié en consultant les sources.

https://blogue-sc.com/2021/05/larnaq...-revisionniste
 
Old May 30th, 2021 #928
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Une exposition qui dévoilait les enjeux de la guerre

Il y a 80 ans la presse française annonçait l’ouverture de l’exposition « La France européenne ». L’organisateur la présenta ainsi :

« A la France vaincue et encore meurtrie le vainqueur permet (...) de reprendre conscience d’elle même, de s’affirmer, de prouver sa volonté de revivre. (...)

Jamais le monde n'avait vu une initiative de cette nature (...) encouragée, approuvée, par un ancien adversaire dont la maturité et le sens profond des responsabilités ont dominé déjà les formes élémentaires du triomphe, consacrées par l'antique barbarie des luttes ancestrales.

Oui, cette exposition est, d'abord et avant tout, un acte de foi et d'espérance dans la France. Le sens profond et si sûr de notre peuple ne s'y est pas trompé. Le plus humble des ouvriers qui ont contribué à la réalisation de cette œuvre l'a compris. Car ils ont fait merveille. Ces travailleurs (...) qui ont rejoint (...) les traditions les plus nobles de notre vieille France laborieuse, si fière de l'effort honnête et consciencieux.

Pareil effort ne saurait s'expliquer sans un élan de l'âme: c'est celui qui naît de l'amour purifié de la patrie.

La France, est-il besoin de le répéter, la France restera toujours la France. Mais elle va devenir européenne, pour le bien de ses fils, pour le bien et la paix de ses voisins, pour la prospérité générale de tout le continent. (...) Vous verrez l'Europe de 1939, cloisonnée, hérissée de murailles, coupée en bastions, en fortins étouffant sous l'acier et le béton, en proie aux pires déséquilibres économiques, à la misère. C'était hier. En face de cet hier se dresse déjà le radieux demain. Les barrières mortelles sont tombées, les canaux, les voies ferrées, les autoroutes se multiplient, portant, d'un bout à l'autre de notre vieille Europe, les produits du travail des hommes.

Nous avons voulu que cette exposition fût un acte de foi. Nous veillerons à ce qu'elle soit une manifestation de vie créatrice, donc à ce qu'elle se renouvelle sans cesse car, au rebours de celles qui l'ont précédée, elle n'est pas un bilan, l'aboutissement d'une politique ou d'une économie. L'exposition de la France européenne est un début, un point de départ, une promesse qui se développera sous des formes sans cesse modifiées par le dynamisme d'une époque rajeunie dans l'épreuve. Le président Laval l'a dit aux Américains: "Cette guerre n'est pas une guerre comme les autres : c'est une révolution d'où doit sortir une Europe rajeunie, réorganisée et prospère."

Nous nous rallions à cet optimisme de raison. La France vivra, elle sera européenne. Et déjà se dissipent les dernières ténèbres de la nuit.»

Oui, vraiment, cette guerre était l’opportunité qu’il fallait saisir. Voilà pourquoi si j’avais vécu à l’époque, j’aurais prôné une alliance totale, économique et militaire, de la France avec le IIIe Reich. Pour le bien d'une Europe unie sous l'étendard du national-socialisme, donc pour le plus grand bien de la France.

 
Old May 31st, 2021 #929
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Agir aujourd’hui, sans peur du lendemain

Suite à l'arrestation de Rémy Daillet et conscient des menaces qui pèsent sur ma personne, un aimable Internaute m’écrit : «Vincent.. ne jouez pas au martyr, vous savez que ça va se produire. S'il vous plaît, nous vous en prions, quittez l'Angleterre, pour un pays de l'est par exemple. (…) Trouvez un endroit sûr. Vous nous seriez bien plus "utile", et on nous serions bien plus heureux de vous savoir toujours libre

Des messages de ce genre, j’en reçois beaucoup. Je remercie chaudement ceux qui me les envoient.

Mais croyez-moi, je ne «joue pas» au martyr. Si j’avais voulu y jouer, alors je n’aurais pas fui la France en 2015 ; j’aurais attendu que la Police vienne me chercher et qu’on me jette en prison pour y purger la peine à laquelle je venais d’être condamné*. Ou m’étant exilé, j’aurais tenté de rentrer en France en 2019, pour assister à l’inhumation de mon père. Arrêté, j’aurais alors crié : «Ils ont profité de la mort de mon père!»

Non, je ne «joue pas» au martyr. Mais l’avocat britannique que j’ai consulté en 2016 me l’a dit : « Ne franchissez aucune frontière, vous seriez arrêté. N’allez même pas en Irlande, car vous courriez le même risque ».

Fuir nécessiterait de passer clandestinement la frontière et d’être conduit ailleurs, loin. Pour cela, il faut un réseau. Je n’en ai pas. Et quand bien même : partir pour où ? comment emporter avec moi ma bibliothèque (plus de 3 mille livres) ainsi que mes archives ?

N’ayant pu trouver une solution, pour l’heure, je suis bloqué ici, en Grande-Bretagne.

Dès lors que faire ? Deux possibilités : 1. Tout arrêter et me faire oublier en espérant que les autorités auront d’autres soucis (Breixit, covid, crise sociale, Moyen-Orient…) ; 2. Continuer tant que possible.

Certains me disent : « Vous avez déjà beaucoup donné. Pensez désormais à votre avenir. Quittez l’avant-scène, votre œuvre restera. » Ce n’est pas ainsi que je raisonne. Avant de penser à demain, je pense à aujourd’hui : « Que dois-je faire aujourd’hui qui sera utile à la communauté?» Penser à demain, c’est devenir le jouet de ses peurs. Or, il n’y a pas pire ennemi que soi-même.

Les dangers que l’on imagine (à tort ou à raison) grossissent et leurs conséquences (imaginées) s’aggravent. Aussi deviennent-ils des monstres terrifiants. Bref, la peur de l’avenir est ce qui paralyse le plus. Voilà pourquoi je me concentre sur aujourd’hui : aujourd’hui, je me réveille libre ; que dois-je faire pour remplir ma mission ? Je dois faire ceci. Mais demain ? Demain, on verra… aujourd’hui d’abord.

Je vous souhaite une bonne journée.

Vincent

* https://actu.fr/normandie/honfleur_1...ne_727214.html
 
Old June 2nd, 2021 #930
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Contre la dictature sanitaire et les mensonges… Il faut mener un combat global

Un lecteur de Rivarol reproche à Vincent Reynouard de confondre combat spirituel et combat temporel. Il lui reproche aussi de « tout attendre des réactions du peuple ».

Dans cette courte vidéo, Vincent Reynouard répond.

https://www.bitchute.com/video/Deabj5v6jUyG/
 
Old June 13th, 2021 #931
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La tyrannie du « devoir de Mémoire »

2021 : lors des commémorations du drame d’Oradour, un homme un uniforme, portant un masque aux couleurs de la République, filme la scène. Cette photo résume le message des autorités : «Regarde passivement (la caméra), recueille-toi en silence (le masque bleu-blanc-rouge) et pense comme tout le monde (l’uniforme avec le béret qui couvre le crâne)». Jacques Brel chantait : «Faut vous dire, Monsieur, que ces chez gens-là, on ne pense pas… on prie !» Il dénonçait alors ces petits-bourgeois dont la religion, héritage familial, se bornait à quelques automatismes. Aujourd’hui, un Jacques Brel chanterait : «Faut vous dire, Monsieur, que dans notre république, on ne pense pas… on se souvient!» Ainsi dénoncerait-il cette nouvelle religion appelée le «devoir de Mémoire».

On m’objectera que si la Foi dérive d’une croyance, la Mémoire, elle, se fonde sur une histoire attestée par des témoins, confirmée lors de procès et vérifiée par des historiens. Je répondrai que jusqu’en 1990, un Russe aurait dit la même chose avec Katyn. Certes, nous ne sommes pas en URSS ; mais en France, la loi antirévisionniste porte le nom d’un député communiste : Jean-Claude Gayssot. Avec elle, un dissident en matière d’histoire peut être jeté en prison et contraint à l’exil. J’en suis la preuve vivante : en 2010-2011, j’ai purgé une peine d’un an de prison pour avoir diffusé une brochure révisionniste ; en 2015, j’ai été à nouveau condamné à de la prison ferme pour une vidéo révisionniste ; je me suis alors exilé. Nous ne sommes pas en URSS, mais on s’en approche.

Pour justifier cette répression, les autorités affirment que le «négationnisme» est un mensonge qui sert à véhiculer le racisme et l’antisémitisme (1). L’ennui est qu’en France, le professeur Faurisson n’a jamais pu obtenir le débat qu’il a n’a cessé de proposer. En 1979, il réclama «une preuve, une seule preuve précise de l’existence réelle d’une "chambre à gaz" (…). Cette preuve, nous l’examinerons ensemble, en public.» (2) Jamais les historiens n’ont relevé ce défi. A la place, une loi a été votée.

Voilà plus d’un siècle, la morale républicaine enseignait : «La libre discussion est d’absolue nécessité dans l’ordre des croyances qui se démontrent et qui se discutent.» (3) L’«Holocauste» et le drame d’Oradour n’étant pas des thèses « qui se démontrent et qui se discutent », il s’agit de dogmes qui fondent une religion. Un Jacques Brel aurait donc raison de chanter : « Faut vous dire, Monsieur, que dans notre république, on ne pense pas… on se souvient ! » J’accepte de me souvenir… à condition que la mémoire ne soit pas un mélange d’amnésie partielle et de falsification imposé sans discussion et protégé par la loi.

(1) : https://www.dilcrah.fr/2018/01/26/qu...negationnisme/

(2) Voy. R. Faurisson, Mémoire en Défense (La Vieille Taupe, 1980), p. 100

(3) Voy. H. Marion, Leçons de Morale (A. Colin, 1882), p. 240.

 
Old June 14th, 2021 #932
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Ces voix oubliées


Il y a 80 ans jour-pour-jour, L’Œuvre publiait ce témoignage d’un parisien qui avait vécu, en juin 1940, l’entrée des Allemands dans Paris. René Guérin –c’est son nom–, notait les choses vues sur un carnet personnel. Il décrit la panique croissante de nombreux Parisiens qui, depuis le 10 juin, fuyaient de peur d’être massacrés par les «nazis».

Au 13 juin, il note: «L’exode se poursuit, de plus en plus lamentable. Des avions allemands, à faible hauteur, observent cela sans tirer, ce qui surprend beaucoup de gens.» Mais ce fait ne suffit pas pour calmer les esprits. Pendant la nuit, les Allemands pénètrent dans la capitale. Au matin : «Des commères en délire répandent les bruits les plus effrayants.» Sceptique, René Guérin part dans les rues afin de vérifier. Que voit-il ? Des Allemands qui se reposent: «Quelques-uns achètent des cartes postales, ou vont boire dans les bistrots. Une marchande pousse sa voiture chargée de bananes; mais ces grands enfants de Nord n’en ont sans doute jamais vu; c’est seulement après avoir vu un Français en acheter un et la manger qu’ils se risquent à en faire autant; en cinq minutes, la poussette est débarrassée.» La journée se passe sans incident: «Les Allemands sont d’une correction parfaite, et paraissent gênés de voir tant de visages fermés.»

Le 15: «Les Allemands, en grand nombre, sont au repos, visitent la ville, boivent aux terrasses. Les cafés rouvrent en grand nombre.» «Pas encore de fraternisation; à quelques exceptions près, les Français restent distants.» Malgré cela: «Les Parisiens sont ahuris de n’avoir pas été dévorés tout crus». Des fuyards «qui reviennent racontent qu’ils ont été rattrapés [par des Allemands] au sud de la ville, qu’on leur a dit de rentrer chez eux sans crainte, qu’on a même fourni de l’essence aux autos en panne. Beaucoup comment seulement à comprendre à quel point ils ont été trompés: "On nous avait pourtant bien dit que les Allemands crevaient de faim, et n’avaient pas d’essence, ni de caoutchouc, ni de cuir! Que nous vaincrions, parce que nous étions les plus forts! Etc, etc." En quarante-huit heures, une véritable révolution s’est faite dans les esprits.»

Le 16: «Les Allemands sont de plus en plus nombreux dans Paris. Rapports entre eux et la population toujours corrects et dignes.»

Le 17, les premières conversations s’engagent et se prolongent entre Allemands et Français.

Le 23, René Guérin note: «Par leur ordre, leur correction, les troupes allemandes font véritablement l’admiration de Paris.»


 
Old June 15th, 2021 #933
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1942 : un journaliste français découvre le vrai visage du national-socialisme


En mai 1942, un journaliste français écrivit: «en France, on s’était laissé complaisamment persuader que, dans les pays totalitaires, l’Opinion publique (…) était pratiquement inexistante.» Au terme d’un voyage de trois semaines en Allemagne, et après avoir côtoyé des populations diverses, il concluait: «Quelle naïveté!»

La réalité? Un fonctionnaire du Front du Travail lui avait exposée en ces termes: «Le Parti nazi est une minorité de nombre extrêmement faible. Il a la force avec lui, c'est un fait. (…). Mais la force n'est pas un moyen de gouvernement. S’il peut ordonner sans crainte de faire trop d’erreurs, ni de soulever le mécontentement. c’est qu'il plonge de multiples antennes dans le peuple. Comprenez que c’est une nécessité vitale pour le Parti que d’être suivi par la population ! Ici, pas de votes, des plébiscites. On opine par oui ou par non. Cela a toujours été oui. Vous appelez cela un vote de confiance. La confiance, nous l’avons

Plus tard, un ouvrier français vivant en Allemagne lui expliqua: «Ces gens-là ne font pas de politique. On dirait qu’ils n’y pensent pas.» Le journaliste confirmait: «Ce n’est pas seulement pour des raisons politiques que les Allemands sont unis derrière le parti national-socialiste. La révolution nationale-socialiste a été et demeure une révolution sociale. – "Pas question de politique", m’explique le directeur d’un magasin de distribution de vêtement de l’Assistance nationale-socialiste. On a voulu nous forcer à imaginer l’Allemand idéologiquement fanatique ou fanatisé: quelle vue inexacte. La vérité est beaucoup plus simple.» Elle lui a été dévoilée par une Allemande qui n’avait jamais appartenu au Parti. Avant Hitler, dit-elle, «dans tout l’Allemagne, chômage et paupérisme atteignaient un degré qu’aucun Français ne saurait imaginer. Maintenant, cette calamité a disparu. Cela ne s’oublie pas.» Et le journaliste d’écrire: Hitler «a su, par le travail, tirer de la richesse d’un pays terriblement appauvri. Du travail, une législation sociale bien assise, de hauts salaires, de l’ordre, l’extinction des fléaux qui épuisaient la nation: paupérisme et chômage, voilà ce sont les Allemands se considèrent redevables au régime. A leurs yeux, est-il besoin d’une justification politique à cette réussite? Non. Au cours de ces dix années, le peuple a appris à suivre ses chefs, il a pris l’habitude de leur réussite en même temps que celle d’y contribuer par une discipline rigide et des efforts renouvelés. (…) C’est de cet état d’esprit très particulier que la puissance industrielle et militaire allemande tire toute sa force. Rien ne peut se comprendre sans cela

Et en effet, pour venir à bout de l’Allemagne nationale-socialiste, il a fallu les efforts conjugués des trois plus grands empires mondiaux, avec leurs armadas de bombardiers déversant de centaines de milliers de bombes incendiaires.

Heil Hitler.

 
Old June 16th, 2021 #934
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Ce qu’aurait été l’Europe unie sous l’étendard du national-socialisme


Début avril 1944, le Front du Travail allemand organisa le « Congrès des économistes et hommes politiques ». L’objectif était de définir l’économie politique de l’Europe nouvelle, unie sous l’étendard du national socialisme.

Les représentant d’une vingtaine de nations européennes y participèrent. Ils adoptèrent une résolution en 17 points. Applaudissant ce projet qui préservait les identités nationales, La France Socialiste écrivit: «Il n’y a de socialismes que nationaux»; «La pratique [du socialisme] est variable avec les milieux nationaux, elle s’adapte aux conditions concrètes des divers pays, elle est subordonnée aux forces en présence, à la forme de l’État, à l’économie, aux situations politiques, aux traditions, aux psychologiesBref, il n’était pas question d’imposer la forme allemande du national-socialisme à toute l’Europe.

De même qu’il n’effaçait pas la nation, ce socialisme n’uniformisait pas les masses. Le deuxième point précisait : «La communauté n’est viable que si elle peut s'appuyer sur des personnalités qui soient à même et aient la volonté d'assumer dans toutes leurs actions un maximum de responsabilité vis-à-vis de la communauté. Si ceci n’était point le cas, la communauté dégénérerait immédiatement en un morne collectivisme.» On voulait donc des gens capables d’initiatives et responsables.

D’où une instruction différenciée. Dans cette nouvelle Europe: «chaque membre de la communauté nationale (se verrait) offrir toutes les possibilités d’instruction et de développement qui correspondent à ses aptitudes naturelles. Le droit à l’instruction ouvre la voie à la promotion sociale.» Dans le cadre de cette promotion sociale, l’individu pourrait occuper «l’emploi qui correspond à ses capacités et aux exigences de la communauté nationale.»

Puis venait la famille. Le huitième point déclarait: «Toute promotion de la personnalité serait vaine, si la famille, en tant que cellule initiale de la nation, n’en retirait un encouragement particulier. Il faut que la personnalité justifie la situation sociale à laquelle elle s’est élevée dans la communauté nationale grâce à son apport, en fondant un foyer et en constituant une famille saine. C'est dans ce but final que la communauté nationale doit, de son côté, veiller à ce que chaque famille dispose d'un habitat convenable et de moyens d’existence suffisants

Le neuvième point précisait: «C’est à la communauté nationale que revient la tâche de veiller d ce qu’aucun de ses membres ne tombe dans le besoin sans qu’on puisse lui en imputer la responsabilité. Elle assure la retraite du vieux travailleur, la sécurité en cas de maladie, d’invalidité et de maternité, ainsi que l’existence des veuves et des orphelins

Le IIIe Reich avait déjà réalisé tout cela… Je vous laisse lire les 17 points. Ils vous décriront ce qu’aurait été l’Europe, si Hitler avait gagné la guerre. Heil Hitler.

 
Old June 16th, 2021 #935
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1942 : Le national-socialisme en action


Suite à mon dernier message, je soumets au lecteur cet article paru en juillet 1942. Il confirme que le IIIe Reich avait déjà partiellement ou complètement réalisé les 17 points du Congrès de Salzbrunn pour une Europe unie sous l’étendard du national-socialisme.

Texte de l'article :

« L'idée fondamentale du national-socialisme c'est l'esprit communautaire. Le bien-être général passe avant l'intérêt particulier. Cette doctrine appliquée dans tous les domaines a vraiment donné des résultats sociaux extraordinaires.
(…)
L'Allemagne applique dans ses usines des méthodes sociales très en avance sur tous les autres peuples. Nos compatriotes français, ayant les mêmes droits et jouissant des mêmes avantages que les ouvriers allemands, en bénéficient largement.

Pour qu'un ouvrier produise un travail intéressant, il faut que ce travail lui plaise, qu'il l'effectue dans un endroit agréable, avec des outils pratiques et perfectionnés, si ce perfectionnement existe, qu'il soit en bonne santé physique et morale, et qu'il ait un avantage à faire ce travail.

Toutes ces conditions, base de la théorie nationale-socialiste, ont été remplies dans toutes les usines sous l'organisation du Front du travail. Il existe un service social spécial appelé la "Beauté du travail" dont les efforts ont abouti à modifier complètement l'ancien état d'esprit. Le travail n'est pas une punition, l'atelier ne doit donc pas être sombre, la lumière crée la joie et la joie augmente l'effort.

Là où existaient des verres dépolis ou teintés, on les a remplacés par des vitres transparentes, l'ouvrier a le droit de s'intéresser à ce qui se passe dehors, il a le droit de contempler un beau paysage. Et pour que le paysage soit beau, il faut faire de la propreté, mettre de la couleur, de la vie. Les ateliers ont été décorés, peints, ornés de fleurs, les cours d'usine sont nettes, plantées de petits massifs, les fenêtres ont des caisses de géranium.

Tout ouvrier possède un siège, ceux qui doivent employer des positions inconfortables ont des sièges réglables, parfois des selles de vélo montées sur bras articulé. Chaque usine possède plusieurs médecins, et c'est l'un d'eux qui passe plusieurs fois par semaine dans les ateliers pour chercher une amélioration, une modification à apporter au service de la Beauté du travail.

L'état sanitaire des ouvriers est méticuleusement surveillé par des visites fréquentes orientées d'ailleurs suivant le genre d'industrie.

Les usines modernes de la banlieue berlinoise possèdent toutes une installation médicale et chirurgicale que leur envieraient bien des hôpitaux spécialisés. (...) »

La deuxième page de l’article figure dans l’illustration…

(Source : Paris-Soir, 27 juillet 1942, pp. 1 et 2)

 
Old June 17th, 2021 #936
alex revision
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Quand des soldats allemands sauvaient des Français.

Quelques entrefilets glanés au hasard de mes recherches...

Une vidéo sans paroles.

https://www.bitchute.com/video/Ab3LdfG49RgT/
 
Old June 25th, 2021 #937
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1940-1945 : l’occasion manquée. Et aujourd’hui ?

Avril 1942, la deuxième exposition «La France européenne» se tient à Paris. Elle montre ce que sera la France dans l’Europe unie sous l’étendard du national-socialisme. Un jeune garçon la visite, accompagné par son grand-père Le journaliste écrit : «Pour le premier, ces claires images d'une vie nouvelle étaient réalité; pour le second, elles étaient promesses dont il ne verrait pas la réalisation. L'homme avait connu l'erreur, la confusion, l’égoïsme; il pouvait espérer, pour l'enfant, une vérité qui s'exprimait en quelques simples formules: "La vie nouvelle substituera la cité claire et fleurie aux taudis […]. Ne vivre que du travail et bien vivre grâce à lui. L'éducation professionnelle formera l'homme de la vie nouvelle, qui succédera à l'homme-machine." […] Vie nouvelle dans les foyers, vie nouvelle dans les écoles, vie nouvelle dans les usines, vie nouvelle dans les campagnes. L'enfant découvrait un monde de couleur, le folklore européen, devant ces spirituelles silhouettes d'une Europe qui fait librement circuler ses produits. Le vieillard lisait, sur ces panneaux, qui sont comme l'esquisse des tables de la loi nouvelle, les définitions de la vie communautaire. C'est ainsi que j'ai vu un enfant et son grand-père porter leurs premiers et leurs derniers regards sur le monde nouveau proposé aux hommes de bonne volonté.»

Le journaliste s’interrogeait: «L'enfant curieux, à qui l'on offrait ces perspectives d'une vie plus large, plus aérée, plus humaine, la connaîtra-t-il enfin?» Non, l’occasion a été manquée.

Le 25 juin 1942, Marcel Déat écrivit : «Le temps perdu pèse d’un effroyable poids, et voici que la grande tragédie se hâte vers le dénouement prévu : il n’y a pas un instant à gâcher, pour que la France compte encore demain dans le monde. Quand on a, jusqu’à l’angoisse, le sentiment aigu de cette fuite des heures, de cette galopade des ultimes occasions, et quand on devine partout le freinage des salauds, alors oui [...], on a envie de cogner.» 79 ans plus tard, ce texte garde toute son actualité.

Certes, me dira-t-on, mais cogner comment? Celui qui a giflé Macron est en prison! Sans doute, mais on peut cogner en diffusant la vérité à son niveau, ou en aidant ceux qui la crient. Et pour les gens qui ne le peuvent pas, reste le bulletin de vote. Oh! je n’espère rien des élections. Mais quand on ne peut rien faire d’autre, alors un scrutin permet de « cogner ». On « cogne » en s’abstenant ou en votant pour un candidat honni du Système. Au Royaume-Uni (où je n’ai aucune action révisionniste), j’ai voté pour « Binface » (tête de poubelle), le candidat le plus improbable (http://www.countbinface.com). En France le Rassemblement National reste le parti honni. A tort, sans doute, mais c’est un fait. Les résultats de dimanche prochain montreront si les Français veulent vraiment changer, s’ils sont prêt à saisir une occasion qui se présenterait.

Je suis pessimiste. J’espère avoir tort.

 
Old June 26th, 2021 #938
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National-socialisme et vraie liberté

Quand on expose les réussites de l’expérience nationale-socialiste en Allemagne, beaucoup répondent: « Certes, mais il n’y avait plus aucune liberté. L’autoritarisme asservissait le peuple et les opposants étaient jetés dans des camps de concentration. »

Dans cette vidéo, Vincent Reynouard répond à l’objection. Loin de contester le caractère autoritaire du national-socialisme, il explique pourquoi l’autoritarisme favorise la liberté. Mais encore faut-il avoir de la Liberté une notion exacte, pas celle dévoyée par les idéaux de 1789.

Plan de l’exposé
  • 1937-1938: des Français visitent une Allemagne heureuse
  • Le national-socialisme en accord avec la notion traditionnelle de liberté
  • 1789: de la vraie liberté à la licence
  • La vraie liberté s’accorde avec l’autoritarisme
  • Conclusion : le national-socialisme promeut la vraie liberté

https://blogue-sc.com/2021/06/nation...-vraie-liberte
 
Old June 28th, 2021 #939
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Des assassinats qui sont des aveux

29 juin 1944: il y a 77 ans jour-pour-jour, la presse annonçait l’assassinat, la veille, de Philippe Henriot. Philippe Henriot, c’était avant tout cet éditorialiste qui, chaque jour, s’exprimait à la radio. Orateur redoutable, ce partisan de la collaboration franco-allemande convainquait les foules. Telle fut la raison pour laquelle la Résistance organisa son assassinat.

Sans surprise, elle parla de "l’exécution du traitre Henriot". Exécution? Non, car pour qu’il y ait exécution, il faut qu’il y ait eu procès. Or, Philippe Henriot n’avait pas comparu devant une cour régulière. Il avait été condamné à mort en son absence, sans avoir été prévenu et sans avoir pu présenter sa défense. Notez que cette façon d’agir conserve une certaine honnêteté, un peu comme les bolcheviques qui vous logeaient une balle dans la nuque.

Aujourd’hui, les choses sont plus hypocrites. Certes, vous passez devant un tribunal régulier, mais la loi Gayssot vous interdit tout défense sur le fond. Au juge qui vous reproche d’avoir "contesté l’existence d’un crime contre l’humanité", vous répondez: "Oui, mais ma contestation se fonde sur des arguments historiques et scientifiques". Le juge vous répond alors: "Peu m’importe. Je ne suis pas chargé d’écrire l’Histoire, mais d’appliquer la loi…" Pour éviter la condamnation, votre avocat tente de trouver un vice de forme. En vain bien souvent, car le Code de procédure a été respecté. A défaut de respecter la Justice, on respecte la procédure. Autrement dit: on viole la Justice, mais sur un lit avec des draps propres.

J’ai connu ce genre de procès où vous êtes condamné d’avance. Ce n’est plus un assassinat physique, mais un assassinat légal. L’objectif est le même: réduire au silence. Et si l’on excepte quelques "têtes brûlées", ça marche…

Une autre tactique consiste vous faire perdre votre emploi. De 1997 à 2016, sur dénonciation, j’ai perdu cinq postes de professeur. Là encore, le but poursuivi est de vous faire taire. Car pendant que la personne réduite à vivoter se bat pour survivre financièrement, elle ne songe plus s’exprimer publiquement. Si j’ai pu y échapper, c’est parce que j’ai toujours pu donner des cours particuliers.

La dernière stratégie consiste à emmurer vivant: on dresse autour de vous un mur du silence. Cette stratégie a été adoptée par les gardiens de la Mémoire d’Oradour. De 1997 (date de parution de mon livre) à 2004, ils ont tenté la répression. Ayant échoué sur toute la ligne, ils ont finalement choisi de m’ignorer.

Mais avec l’extension de la loi Gayssot à certains crimes de guerre, les choses vont changer: ils pourront désormais pratiquer l’assassinat légal. La première victime sera Jérôme Bourbon, courageux directeur de "Rivarol".

Il sera alors temps de répéter ce que Philippe Henriot déclarait un an avant son "exécution": "Quand on ne songe qu’à l’assassinat pour se débarrasser d’un contradicteur, c’est qu’on n’a pas d’arguments" (éditorial du 30 mai 1943).

 
Old July 4th, 2021 #940
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Face à la répression, comment agir pour la cause nationale ?

Après la dissolution de Génération identitaire l’arrestation de Rémy Rémy Daillet, Vincent Reynouard s’appuie sur les enseignements de l’Histoire pour proposer une voie que devrait suivre aujourd’hui le militantisme politique nationaliste.

https://www.bitchute.com/video/c0dX50Iwr5jZ/
 
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