Vincent Reynouard lance un défi à ses adversaires

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Du 19 au 23 juin, une semaine spéciale « vérité sur Oradour »

A partir de demain et pendant cinq jours, je diffuserai les 5 épisodes d'une série de plus d'une heure intitulée : « Oradour, à quand la vérité ? »... Cette courte vidéo l'annonce et annonce ma conférence le samedi 20 juin sur le sujet.

https://www.bitchute.com/video/1phDRjgsn0df/

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Oradour, à quand la vérité ? (1/5)

Le 10 juin 1944, une compagnie de Waffen SS aurait massacré la population paisible du village d'Oradour-sur-Glane. Plus de cinq cents femmes et enfants auraient été mitraillés puis brûlés vifs dans l'église.

Cette tragédie s'est-elle déroulée comme on le prétend ? Les coupables sont-ils ceux désignés depuis 1944 ? La Science, la logique et le comportement des gardiens de la Mémoire face à la contradiction démontrent que non.

Sans nier ni les morts, ni l'horreur, ni la douleur des familles, l'histoire de cette tragédie doit être réécrite. Pourquoi, ce 10 juin 1944, des Waffen SS sont-ils venus à Oradour ? Quelle était leur mission ? Que s'est-il passé dans l'église vers 16 heures ert qui a tout déclenché ?

Dans cette série en cinq épisodes, Vincent Reynouard apporte une réponse à ces questions.

https://www.bitchute.com/video/xhL8SuLsmb16/

Plan du premier épisode :

I. Un président de la République « révisionniste » sur Oradour

II. Incapables de me répondre sur le fond, les gardiens de la Mémoire orchestrent la répression

- 1997 : pris de panique, les gardiens de la Mémoire font interdire mon livre
- Une interdiction annulée car contraire aux Droits de l'Homme
- 2001 : les persécutions judiciaires commencent
- Ma cassette vidéo interdite « dans l'urgence »
- Perquisitions, saisies, analyses d'ADN et placement sous contrôle judiciaire

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Inscription à la conférence de Vincent Reynouard : "Oradour, révélations autour d'une enquête"

Samedi 20 juin 2020, à 20 heures (heure de Paris), Vincent Reynouard dévoilera des anecdotes inédites et des confidences recueillies à Oradour lors de son enquête sur le drame.

Pour assister à cette conférence, veuillez vous inscrire via le formulaire d’inscription dont voici le lien : https://sans-concession.ck.page/b3d98d1b5e.

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Oradour, à quand la vérité ? (2/5)

Le 10 juin 1944, une compagnie de Waffen SS aurait massacré la population paisible du village d'Oradour-sur-Glane. Plus de cinq cents femmes et enfants auraient été mitraillés puis brûlés vifs dans l'église.

Cette tragédie s'est-elle déroulée comme on le prétend ? Les coupables sont-ils ceux désignés depuis 1944 ? La Science, la logique et le comportement des gardiens de la Mémoire face à la contradiction démontrent que non.

Sans nier ni les morts, ni l'horreur, ni la douleur des familles, l'histoire de cette tragédie doit être réécrite. Pourquoi, ce 10 juin 1944, des Waffen SS sont-ils venus à Oradour ? Quelle était leur mission ? Que s'est-il passé dans l'église vers 16 heures ert qui a tout déclenché ?

Dans cette série en cinq épisodes, Vincent Reynouard apporte une réponse à ces questions.

https://www.bitchute.com/video/QJ2Y0hBjRgA9/

Plan du deuxième épisode :

- Apologie ou négation ? Les autorités judiciaires en pleine contradiction
- Ma cassette vidéo interdite sur tout le territoire national en vertu d'une loi réprimant les... infractions sexuelles

III. La Justice entame puis esquive le débat historique

- La juge d'instruction veut aborder l'aspect historique du drame d'Oradour
- La juge d'instruction clôt subitement l'enquête et me revoie devant le tribunal
- Le Président du tribunal m'empêche d'aborder l'aspect historique du dossier
- L'explosion inattendue de l'église : cause immédiate (et occultée) du drame

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Oradour, à quand la vérité ? (3/5)

https://www.bitchute.com/video/3WB7D4YYyymQ/

Plan du troisième épisode :

- Une explosion que l'on ne peut imputer aux Waffen SS
- Une « caisse » retrouvée par les sauveteurs dans l'église mais qui disparaît mystérieusement

IV. 1953 : la France organise un procès truqué contre les « bourreaux d'Oradour »

Des prévenus qui « avouent » ce qu'on attend d'eux
- Des accusés réduits à « avouer » pour protéger les leurs et dans l'espoir d'un traitement de faveur
- Refus d'établir la matérialité des faits : un procès truqué
- Des aveux qui ne peuvent servir à bâtir une histoire vraie

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Oradour, à quand la vérité ? (4/5)

https://www.bitchute.com/video/MWdFrxLApaol/

Plan du quatrième épisode :

V. Oradour : nécessité d'établir la matérialité des faits
- Juin-novembre 1944 : une thèse officielle bâtie laborieusement
- Une thèse qui ne résiste pas à l'analyse matérielle
- Oradour et le maquis : la vérité apparaît
- La thèse allemande ne peut plus être balayée d'un revers de la manche

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Oradour, à quand la vérité ? (5/5)

https://www.bitchute.com/video/JUNtBdKSZD0S/

Le 10 juin 1944, une compagnie de Waffen SS aurait massacré la population paisible du village d'Oradour-sur-Glane. Plus de cinq cents femmes et enfants auraient été mitraillés puis brûlés vifs dans l'église.

Cette tragédie s'est-elle déroulée comme on le prétend ? Les coupables sont-ils ceux désignés depuis 1944 ? La Science, la logique et le comportement des gardiens de la Mémoire face à la contradiction démontrent que non.

Sans nier ni les morts, ni l'horreur, ni la douleur des familles, l'histoire de cette tragédie doit être réécrite. Pourquoi, ce 10 juin 1944, des Waffen SS sont-ils venus à Oradour ? Quelle était leur mission ? Que s'est-il passé dans l'église vers 16 heures ert qui a tout déclenché ?

Après avoir apporté des réponses à ces question, Vincent Reynouard conclut et propose une « véritable réconciliation fondée sur la vérité historique ».

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Oradour dans le miroir de la vérité

https://www.bitchute.com/video/L25EP5VXE2ql/

Une petite vidéo à diffuser largement, merci beaucoup à celles et à ceux qui m'y aideront.

En huit minutes, la vérité (occultée depuis 1944) sur le drame d'Oradour.

Pourquoi les Waffen SS sont-ils venus dans la village ? Quelle était leur mission ? Qu'est-ce qui a provoqué la mort des femmes et des enfants dans l'église ? Que s'est-il passé, qui a transformé l'expédition en tragédie ? Les réponses dans ce petit court-métrage.

Pour plus d'informations, voir le documentaire : « Oradour, à quand la vérité ? » disponible sur https://blogue-sc.com

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Message au maire d'Oradour-sur-Glane

https://www.bitchute.com/video/20g9rM3zuJzS/

« J'ose le dire, Monsieur le Maire : ceux qui pourraient vous solliciter pour me censurer prostituent les victimes afin qu'elles rapportent politiquement. Si les morts d'Oradour pouvaient se réveiller, alors ils témoigneraient en ma faveur, pour le plus grand déshonneur des gardiens de la Mémoire. » Dans cette vidéo, Vincent Reynouard adresse un message sans concession au maire d'Oradour. Après avoir dévoilé l'escroquerie du « devoir de Mémoire » (une mémoire qui « oublie », par exemple, les drames des bombardements alliés sur la France), Reynouard démontre que ce sont les gardiens de la Mémoire qui falsifient l'histoire à des fins politiques.

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Oradour : j'accuse le dernier témoin

https://www.bitchute.com/video/1y7JLln8ydnf/

Les tricheries de Robert Hébras pour tenter de sauver le mensonge officiel

Robert Hébras est le dernier survivant majeur du drame d'Oradour. En 1992, il a publié une brochure inttulée : « Le drame d'Oradour, heure par heure. » Dans cette vidéo, Vincent Reynouard le prend en flagrant délit d'invention et de falsification. Car voulant sauver une thèse officielle intenable, Robert Hébras en a été réduit à mentir effrontément. Après avoir rappelé ce qui s'est vraiment passé ce 10 juin 1944 tragique à Oradour, documents à l'appui, Reynouard dévoile les tricheries du dernier témoin...

Plan de la vidéo :

Le drame d'Oradour d'après les documents et les constats matériels
Premier mensonge : un souvenir inventé pour faire croire qu'Oradour était un village tranquille
Deuxième mensonge : le prétendu aveu d'un Waffen SS le soir du drame
Troisième mensonge : une chronologie falsifiée pour cacher l'origine réelle des explosions dans l'église

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Mon message au Maire et aux Conseillers municipaux d'Oradour

Je viens d'envoyer le message suivant à la mairie d'Oradour :

Mesdames et Messieurs les membres du Conseil municipal d’Oradour-sur-Glane

Mesdames, Messieurs,

J’ai hésité à vous envoyer ce message. Car l’envoyer m’expose au risque d’être vu comme un provocateur. Mais si je m’en abstiens, alors on me reprochera d’avoir « attaqué par traitrise ».

Or, je n’« attaque » personne ; je n’ai absolument rien ni contre vous, ni contre les habitants d’Oradour, ni contre les familles des victimes de la tragédie. Au contraire, je comprends parfaitement qu’en Haute-Vienne, les plaies soient encore douloureuses, donc que mon travail et mes conclusions puissent choquer, voire blesser. J’en suis navré. Sincèrement.

Mais je défends ce que je crois être l’exactitude face à une thèse officielle erronée. Certes, cette défense m’amène à dénoncer sans faux-fuyants ceux qui mentent de façon manifeste, fabriquant de faux souvenirs et dénaturant les témoignages (voir ma vidéo : « Oradour : j’accuse le dernier témoin »). Malgré cela, tout ce que je souhaite, c’est qu’une réconciliation réelle puisse intervenir sur le fondement de la vérité historique (voir la cinquième partie de mon documentaire).

Cette vérité, nous y parviendrons ensemble, par le biais d’un échange équitable, c’est-à-dire lorsque chaque partie pourra exposer librement son point de vue, dans la limite des règles de la courtoisie, sans être ni victime de la censure, ni menacée des foudres du système judiciaire. Dans son ouvrage « La Résistance expliquée à mes petits-enfants », Lucie Aubrac reprochait à Pétain de n’avoir « laissé paraître que les seuls journaux qui étaient avec lui » (p . 18). L’ayant écoutée déplorer l’information dirigée et la censure, un enfant lui demandait : « Et comment savoir la vérité ? » Madame Aubrac répondait : « C’est pour cela, vois-tu, que je pense que la première arme de la Résistance, ce n’est pas une mitraillette, c’est l’information » (p. 19).

Je suis d’accord avec elle.

Je souligne toutefois que si les gouvernants ont changé, sur certains sujets, les méthodes restent les mêmes. J’en ai fait l’expérience douloureuse, une expérience qui m’a conduit à l’exil en Angleterre où je vis depuis cinq ans. Aujourd’hui, le « Résistant » parti à Londres, c’est moi…

Voilà pourquoi sur le drame d’Oradour, je propose au grand public deux vidéos et un documentaire (en cinq parties). Ils apportent :

- des informations bannies du territoire médiatique et des établissements scolaires ;
- des conclusions dont la diffusion publique est susceptible de tomber sous le coup de la loi (article 24 bis de la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse). Mais Lucie Aubrac elle-même enseignait : « La désobéissance volontaire fait partie de l’esprit résistant. » (p. 15)

Ces documents visuels sont disponibles gratuitement et librement sur Internet : blogue-sc.com. [Suivent des liens que je ne reproduis pas ici]

Naturellement, je propose, j’expose, je n’impose point. Je laisse chacun libre de conclure comme bon lui semble.

Encore une fois, je suis navré que dans cette vie-ci, nos destins nous amènent à nous opposer. Nous nous retrouverons dans un monde meilleur, débarrassé des passions humaines. Mais pour l’heure, nous agissons ici-bas. J’agis, vous réagirez… c’est dans l’ordre des choses. Tout ce que j’espère, c’est que nous puissions le faire dans un esprit d’équité, pour la vérité historique.

Je vous prie de croire, Mesdames, Messieurs, en l’expression de ma sympathie,

Vincent Reynouard

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D'Auschwitz à Black Lives Matter

Quelles solutions pour sauver le monde blanc ?

https://www.bitchute.com/video/njtvlrjwCNtX/

Vincent Reynouard explique pourquoi, avec le mouvement Black Lives Matter, nos sociétés subissent une hystérie « antiraciste » qui renverse toutes les digues et menace de détruire le monde Blanc. Il termine en exposant les deux solutions (logiques) qu'il préconise pour espérer enrayer ce phénomène mortifère.

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (10)

Pourquoi, dans les années 20, Hitler était-il anti-français ? Les raisons qui le motivaient étaient purement circonstancielles : Hitler voyait dans la France un ennemi mortel parce qu'à partir de 1918, violant les promesses de paix équitable formulées par le président américain Wilson, les autorités françaises avaient imposé une paix qui impliquait la destruction de l'Allemagne ; dans cette vidéo, Vincent Reynouard le démontre, documents d'époque à l'appui.

https://www.bitchute.com/video/dMQK5eADbg2j/

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (11)

Dans cet épisode, Vincent Reynouard dévoile les procédés odieux utilisés par les vainqueurs de 1918 pour imposer aux vaincus une paix de vengeance. Parmi ces procédés, un blocus impitoyable qui, maintenu après l'armistice, menaçait des millions d'Allemands de mort lente...

https://www.bitchute.com/video/dzlh23ZNTVCE/

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (12)

Dans cet épisode, Vincent Reynouard raconte les jours dramatiques de juin 1919, lorsque les vainqueurs usèrent du chantage le plus odieux pour imposer aux vaincus une paix de vengeance. Il expose les protestations solennelles des gouvernants allemands à une heure où, politiquement, Hitler n'existait pas. Il rappelle ensuite l'invasion de la Ruhr, en 1923, par les armées franco-belges. C'est à cette époque que Hitler rédigea « Mein Kampf ». Les diatribes anti-françaises qu'on y trouve s'expliquent donc facilement. Mais douze ans plus tard, devenu chancelier d'Allemagne, Hitler lançait à la France : « Soyons amis ! »

https://www.bitchute.com/video/k34BIcOAabk7/

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Dieudo, Bourbon : un aveu juif à méditer

Suite à la condamnation de Jérôme Bourbon et à propos de Dieudo, le groupe « Balance Ton Antisémite » écrit : « Notre volonté n'est point de faire taire les haineux, mais de les faire condamner. » Simple hypocrisie ? Non. Vincent Reynouard explique le sens de ce message et les enseignements qu'il faudrait en tirer.

https://www.bitchute.com/video/pZYJAHbY9Vbh/

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (13)

f) Juin 1940 : loin d'anéantir la France, Hitler fait secourir des millions de réfugiés (1/2)

https://www.bitchute.com/video/5i6GDyS64C1w/

Dans cet épisode, Vincent Reynouard réfute l'argument selon lequel en septembre 1939, la France devait entrer en guerre contre le Reich parce qu'elle était liée à la Pologne et parce que, tôt ou tard, Hitler aurait attaqué à l'Ouest afin d'anéantir la France (comme il l'annonçait dans Mein Kampf). Ceux qui soutiennent cette thèse oublient (ou ignorent) que le 6 octobre 1939, une fois la Pologne écrasée, Hitler n'attaqua pas à l'Ouest : au contraire, à la France et à la Grande-Bretagne, il proposa la paix.

Reynouard explique ensuite pourquoi, le 10 mai 1940, le Führer lança ses troupes au-delà du Rhin. Depuis le 6 octobre, il savait que toutes ses propositions de paix seraient désormais repoussées. La défaite militaire française aurait pu lui permettre d'anéantir le pays. Or, Hitler agira à l'opposé : il commencera par faire secourir les millions de réfugiés Français et Belges qui erraient sur les routes.

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Ce que le destin d'Adolf Hitler m'a enseigné (14)

Juin 1940 : loin d'anéantir la France, Hitler fait secourir des millions de réfugiés (2/2)

https://www.bitchute.com/video/dDw0IoO6xwrZ/

Dans cet épisode, documents et chiffres à l'appui, Vincent Reynouard décrit comment, en juin 1940, Adolf Hitler donna l'ordre aux associations caritatives allemandes de secourir les 5 millions de réfugiés français, belges et hollandais qui erraient sur les routes. Cantines par dizaines, dispensaires, pouponnières, distributions gratuites de nourriture, soins médicaux... rien ne fut négligé pour sauver les vies.

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Il y a dix ans jour pour jour (le 9 juillet 2010 à 9 h 30 heure de Paris), deux inspecteurs belges venaient m'arrêter chez moi.

Le soir même, je dormais en prison. Quelques semaines plus tard, j'étais extradé vers la France afin d'y purger une peine d'un an d'emprisonnement pour révisionnisme.

Ma vie allait totalement basculer.

Samedi, je publierai une vidéo dans laquelle j'expliquerai les enseignements que j'ai tirés de cet événement et de tout ce qui en a résulté dans les dix années qui ont suivi.

Je vous souhaite à Toutes et à Tous une agréable journée.

Vincent

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Condamnations, prison, exil :

Dix ans d'épreuves qui ont renforcé ma détermination

Le 9 juillet 2010, agissant en vertu d'un mandat d'arrêt européen, deux inspecteurs m'arrêtèrent chez moi. Le soir même, je dormais en prison. Ma vie allait basculer. Pour avoir défendu publiquement les thèses révisionnistes j'allais perdre ma famille, ma situation et être contraint à l'exil.

Dix ans après, je raconte ces années d'épreuves. Dans une première partie, je rapporte des anecdotes tragiques, mais aussi drôles et parfois très surprenantes : cache aménagée pour échapper à la Police, rigolade en prison, rupture avec mon épouse, à Auschwitz un visiteur me reconnaît...

Ayant un moment songé au suicide, dans une deuxième partie, j'explique comment j'ai pu remonter la pente pour finalement en sortir, aujourd'hui, avec une détermination renforcée.

https://www.bitchute.com/video/y8CFDbpNzw8X/

Plan de l'exposé :

Piégé par la Police (mon arrestation)

1. Anecdotes de prison

- Les larmes de mon épouse
- Rigolade en prison
- Les lettres d'amour des Gitans
- Mon poème de protestation à la responsable de détention

2. Sortie de prison et rupture avec mon épouse

3. Admettre ses responsabilités pour agir en conséquence

4. Reconnu à la boulangerie et à Auschwitz

5. Les coups de pouce du destin

- Seul en exil, je veux me suicider, mais je finis par comprendre
- Ma mission révisionniste m'imposait de partir en exil
- 2011 : le destin (que j'ai choisi) me sépare de mes enfants
- 2015 : sous la pression, j'ose m'exiler en Angleterre
- Ce qui m'arrivait résultait de mes propres choix et actes, pas d'éléments extérieurs

6. Comment expliquer les malheurs qui nous frappent sans que nous en soyons (apparemment) les responsables

- Une question qui mène dans un domaine inaccessible à la - Science et à la raison objective
- L'être et son Karma
- La loi du Karma peut entraîner des épreuves terribles
- Finalement, tout concourt au Bien
- Si une épreuve doit se terminer par la mort

Conclusion : national-socialiste, je combats par amour du Bien, pas par haine du Mal